Il ne faut pas confondre l’immigration économique de familles à la recherche d’un travail et réfugiés quittant leur pays avec l’espoir d’y revenir en raison de la guerre ou des conflits.
La France doit impérativement recevoir ces réfugiés décemment quel qu’en soit le nombre. Ils n’ont toutefois pas vocation à y rester éternellement.
Michel Leclerc : “C’est quand même nous qui leur envoyons des bombes sur leur maison, pour la bonne cause certes, mais ces familles n’y sont pour rien. Dans ce cas, comment appliquer des quotas ?”
Notre histoire est là pour nous guider
La France aurait-elle oublié la guerre de 1939-1945 avec ses cortèges de réfugiés au travers de nos campagnes, n’espérant qu’une chose, faire vivre leurs enfants avant de retourner chez eux.
Pour autant, les immigrés économiques doivent savoir que nous ne sommes pas à la recherche de main d’œuvre pour l’instant. C’est dans les pays où ils vivent qu’il faut agir en leur apportant les moyens économiques, énergétiques et écologiques nécessaires à leur procurer travail et vie décente.
Que manque-t-il à ces pays ?
Essentiellement de l’énergie, de l’eau et des transports. Il faudra donc, ce que nous avons déjà dit, la nécessité de mettre en place un plan Lyautey pour 2 000 milliards d’euros.
Il faut se rappeler que l’Afrique ce sera 2 milliards d’habitants d’ici 20 ans. Seul un plan efficace, fondé sur le travail permettra d’arrêter, d’une part la migration et, d’autre part, l’avancée du désert.
Il faudra les aider dans le domaine de l’agriculture, de l’industrie et de l’énergie.
Il faudra aussi un plan contre les épidémies, des maladies en tout genre qui tuent les enfants avant même qu’ils soient nés.
Il va de soi que c’est à l’Europe d’y contribuer. Au plan Lyautey, il faudra ajouter 500 milliards d’euros. Il en coûtera 30 euros par mois et par européen.
Les retombées et les contreparties sur l’Europe seront dix fois supérieures et nous aurons en prime la paix sur ce continent.
Il va de soi que de nombreux investisseurs accompagneront ce plan et si nous ne le faisons pas, ce plan de relance par la TVA sociale, je ne préfère pas imaginer les conséquences que pourrait nous transmettre le signal d’alarme que nous subissons aujourd’hui avec Daesh.
Les paroles de la Marseillaise sont plus que jamais d’actualité, ne l’oublions pas.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.