Qu’ils soient réutilisables ou pas, et en estimant que le masque doit être changé tous les 4 heures et le réutilisable 4 fois, le coût journalier par personne, sera au minimum de 4 €.
Ce qui fera au total :
1 x 30 jours x 67 millions x 6 mois x 4 € = 40 milliards €.
Ils seront payés par chacun ou par l’Etat, c’est le PIB qui en paiera les conséquences qui s’ajouteront à la dette. Et pourtant, dans l’immédiat, faute de tuer le virus par la chaleur à 40 ou 50° par inhalation, ce sera le prix à payer.
Plus grave, sans le tuer, il renaîtra de ses cendres tel le phénix, plus ou moins dangereusement.
Sait-on seulement que le bon sens triomphera par l’éradication et non par un traitement ?, et si traitement il y a, espérons qu’on utilisera la méthode du Dr Raoult ou du Dr Laurent Schwartz.
Le vaccin, en espérant qu’il arrive un jour, ne pourra soigner que 40 à 50 % de la population par son efficacité. On sait aujourd’hui que l’immunité n’est pas certaine. Il suffit de voir le vaccin contre la grippe, il n’entraîne pas l’immunité car nous la subissons quasiment tous les ans.
Nous en revenons, pour l’instant, à la case départ : les virus meurent à 55/60° ; il faut donc, par tous les moyens, le tuer avant qu’il n’arrive dans les poumons.
Il faut donc, soit dresser des barrières, soit créer des embuscades tout le long du chemin parcouru par le virus. Et nous savons que ces embuscades ne peuvent être efficaces que par une chaleur de 40 à 50°.
L’embuscade pourra être efficace par la chaleur de l’été, s’il en est ; en attendant, essayons de remplacer l’été et sa chaleur en inhalant, soit par le nez, soit par la bouche, une chaleur constituée d’air chaud et, si possible, de l’oxygène complémentaire.
J’espère que l’été me donnera raison. Les mois de mai et de juin seront déterminants et ce, avec ou sans masques.