Voilà la devise qui devrait s’afficher sur le fronton de l’Assemblée Nationale et de Matignon : « savoir, vouloir, pouvoir et devoir ».
A partir du moment où tu sais, il faut vouloir en ayant le pouvoir, et l’ensemble devient un devoir.
Ceci est à la portée de tous surtout quand la chance t’accorde le savoir, une volonté sans faille, un pouvoir qui t’es donné, soit par l’argent, soit par le peuple ; le devoir devient alors une obligation.
Y a-t-il des obstacles au savoir ? Non, jamais quand le bon sens est au rendez-vous.
Y a-t-il un obstacle à la volonté ? Non, si tu es un homme ou une femme.
Y a-t-il un obstacle au pouvoir ? Non, si la santé a été préservée et protégée.
Y a-t-il un obstacle au devoir ? Non, quand le courage n’est pas entravé par ceux qui ne savent rien, qui ne veulent rien, ou par ceux qui attendent tout du ciel ou du hasard.
Ce n’est pas une loterie ; il faut de la chance et la chance, c’est le travail qui donne l’espérance de concrétiser le résultat.
Aujourd’hui, on sait la cause du cancer et des grandes maladies. Aujourd’hui on sait la cause de l’action du virus.
On veut éradiquer les causes : on peut le faire par des solutions, on se doit de réaliser ces découvertes.
J’ai fait mon travail ; j’espère que le ciel nous aidera à réaliser, en forgeant la clef pour un nouveau monde.