Aujourd’hui, l’intérêt de la dette coûte 585 € par famille et par an. Cette dette dépasse les 3 000 milliards, ce qui représente près de 100 000€ par foyer français.
Certes, Monsieur Macron n’en est pas la cause : cette dette n’a cessé de croître depuis 1968. Nos dirigeants sont de bons gestionnaires mais ils n’inventent rien : ils vivent sur le passé et font vivre la France dans le passé.
Les génies français sont partis ou en voie de l’être, par méconnaissance : ils n’ont pas été reconnus mais d’autres pays l’on fait.
Monsieur Macron dit qu’il faut produire plus ; il oublie de dire qu’il faut vendre plus. Il oublie de dire comment on peut produire plus.
On parle de retraite, de pouvoir d’achat. On oublie qu’il faut d’abord faire vivre le peuple.
Nous sommes en train de revivre une période identique à celle d’avant l’arrivée du Général de Gaulle. Mais la France, malgré le déclin qu’elle subit, a heureusement toujours su se relever.
A mon simple niveau, je propose déjà d’économiser 100 milliards chaque année pour la Sécurité Sociale et de procurer 300 milliards de recettes supplémentaires à l’Etat et ce, en travaillant moins chaque jour mais pendant beaucoup plus d’années où l’on vivra jusqu’à 150 ans et davantage.
Il n’y a pas de bonnes économies sans une bonne santé et la France est envahie par les maladies, par les virus, comme beaucoup d’autres pays d’ailleurs. La France n’a pas cherché les causes et aujourd’hui, elle ne peut même plus dire qu’elle ne savait pas.
Développer notre industrie nécessite d’abord de vivre.
Nous savons que la natalité régresse, dans le monde entier d’ailleurs. Alors, il faut allonger le temps de vie, en pleine forme, avec toutes nos facultés. Dès lors, on pourra produire plus et réduire nos déficits.
Bien sûr, on dira : « Leclerc vit dans un rêve ! ». Non, Messieurs, c’est la réalité que je propose. Je veux éviter les maladies, je veux combattre les virus en en donnant les moyens à notre corps. Je veux simplement redonner à la France sa grandeur, celle du pays des lumières et rien d’autre.
Une erreur de la France
En définitive, ce sont les F16 américains qui dégageront le ciel de l’Ukraine.
Où sont nos Rafale, nos Mirage, sur le théâtre de l’Ukraine où se joue le futur de l’Europe ?
On a bien livré quelques Scalp, mais si peu ; on a préféré les mettre en conserve chez nous… et bientôt on ne saura même pas qu’en faire parce qu’ils seront périmés. Ceci est aussi valable pour les chars Leclerc.
Il est vrai que pour tout cela il fallait déjà être convaincu que l’Ukraine gagnerait et que Poutine et la diaspora russe disparaîtraient.
Où sont nos commandos secrets et nos commandos de marine ? On va me dire que nous ne sommes pas en guerre avec la Russie. Mais arrêtons de se moquer du monde ! Notre défaillance, nos erreurs, ont pour résultat 300 000 morts et le double de blessés.
Et l’on se dit un pays libre ? Mais libre de quoi ? Comment a-t-on pu laisser faire Poutine, hier et encore aujourd’hui ?
C’est un massacre qui se déroule sous nos yeux. L’Ukraine aura servi de tampon face à l’aveuglement des pays dits libres.
A-t-on si peur de se battre ? C’est vrai, on a surtout besoin de profiter du résultat de nos ancêtres qui, eux, se sont battus…
Attention, Monsieur Macron : la liberté n’est qu’éphémère et vous en serez responsables, vous et tous les pays occidentaux.
