Une loi peut être combattue. A quel moment ? Quand une loi n’est pas dans l’intérêt général du peuple et va à l’encontre de sa liberté. Quand la loi amène pauvreté, disparition de nos exploitations agricoles et entreprises, suppression honteuse des services publics, augmente les travailleurs détachés en Europe et favorise un chômage de masse, alors cette loi doit être abrogée au plus vite ou combattue.
Faire changer la loi d’une manière démocratique est difficile et met du temps.
La loi qui a permis de faire supporter les cotisations sociales sur les prix de revient doit être modifiée ou abrogée car elle n’est pas dans l’intérêt général.
Explication. L’économie, la Société, évoluent ; nous ne sommes plus en 1945. Aujourd’hui, nous sommes en pleine compétitivité mondiale. Les frontière ont été ouvertes. La circulation des biens et des personnes est une chose appréciable. Appréciable pour ne pas retourner vers la première moitié du moyen-âge, temps de replis sur soi. Temps de misère.
Michel Leclerc : “Il faut parfois combattre une loi pour être juste !”
C’est donc l’intérêt général d’abroger cette Loi de 1945 sur le financement du système de protection sociale de la même manière que j’ai fait abroger la Loi de 1905 sur le monopole funéraire pour établir une liberté dans ce secteur sensible ; ce fut difficile mais c’était dans l’intérêt des familles.
Il en a été de même pour la fixation du prix des carburants par l’Etat ; là encore, il a fallu abroger une loi.
Sans oublier la loi sur le blocage de la distribution automobile en Europe. A chaque fois, j’ai dû mener un combat invraisemblable. Et à chaque fois, j’ai rencontré l’acteur des puissances cachées qui règnent sur le monde.
En finir avec les charges sociales sur les salaires se fera par le plan TRES ou par la volonté d’un politique qui n’aura pas fait alliance avec ces puissances qui n’ont pas intérêt à ce que la France conserve son rang dans le monde.
Si la politique n’y parvient pas, alors il faudra aller plus loin et contraindre les politiques à s’éloigner de ces puissances cachées qui les contrôlent.
L’intérêt général prévaudra sur toute autre force, tôt ou tard.
Il est impossible qu’un homme politique bloque l’intérêt général, car le peuple sera lui-même force de loi.
Michel Leclerc : “Si j’ai une certaine notoriété en France c’est parce que j’ai osé briser les chaînes qui étouffaient la France. Ce combat doit être mené quels qu’en soient les risques et ils seront terribles ; ou alors, y aura-t-il un de Gaulle ou un Mitterrand qui osera dire oui à l’intérêt général et non aux puissances d’argent qui organisent les guerres, les famines, le désespoir, à des fins personnelles.”
Le plan TRES doit devenir une loi pour tous, dans l’intérêt de tous et dans l’intérêt de la France.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.