Les trusts étrangers, pourvoyeurs de la robotisation a outrance supprimera le versement des cotisations sociales parce qu’elle supprimera en même temps les salaires. Est-ce la solution pour notre pays ? Vous verrez que notre gouvernement suggérera de taxer les entreprises sur le chiffre d’affaires et nous nous retrouverons comme après-guerre, dans une situation catastrophique.
Les trusts étrangers ne peuvent guider notre action gouvernementale
N’est-il pas plus sage de supprimer simplement les cotisations sur les salaires pour contrer les trusts étrangers. La réduction des coûts de production sur les salaires rend le robot moins compétitif et le travail déchargé, comparativement plus compétitif.
Le futur avec les robots, pourquoi pas ? Mais les relations humaines ne seront-elles pas compromises ? Alors, faisons en sorte de soutenir l’emploi pendant cette phase de transition à moyen terme.
Fiscaliser les robots ou supprimer les charges sur le travail, sans cela le robot deviendra un concurrent déloyal. Le robot n’aura pas besoin de services sociaux mais il nécessitera un énorme service d’entretien.
Fiscalité et robotisation
Dans l’immédiat, le déplacement des cotisations sociales vers la consommation permettra d’amortir l’arrivée trop rapide des robots sans trop de conséquence sociale. Alors supprimons la concurrence entre salariés et robots et vision plutôt à adapter l’un à l’autre.
Taxer les robots ? non, ce n’est pas la solution. Cela revient à taxer le capital dont les salariés auront également besoin.
Déplacer les charges patronales ? oui, c’est même l’intérêt de tous au plus vite.
Mais si les robots arrivent, et ils seront là bientôt en masse, il faudra les produire, les conduire et les entretenir.
Un robot peut copier, mais ce ne sera jamais l’intelligence d’un homme. Il n’est pas sûr que le robot puisse être beaucoup plus rentable qu’un travail sans charge. C’est ainsi de la vie : il faut prévoir surtout et tout de suite le travail sans charge. C’est la conclusion c’est la nécessité absolue de la suppression des charges. Après, ce sera du goutte à goutte mais pas la fin, l’homme aura toujours sa place car il faudra aussi concevoir les robots et, comme toute machine automatique il lui arrive aussi de faire des erreurs qui sera compensée par l’homme.
Je ne suis pas de ceux qui vont à l’encontre des robots, mais il ne faut pas croire non plus que c’est la solution miraculeuse pour améliorer la productivité. Les robots coûtent chers à fabriquer et ils coûtent encore plus chers à entretenir. Ils auront leur place là où les automatismes le permettront.
Ne pas confondre intelligence artificielle et intelligence humaine car l’intelligence artificielle est le produit de l’intelligence humaine. Elle sert de levier ou de multiplicateur. J’aurais préféré qu’on appelle l’intelligence artificielle, le levier artificiel.