On dit que la nature a horreur du changement : ce dicton est faux.
Ce n’est pas la nature qui a horreur du changement, c’est la vie qui en a horreur et la nature mène une guerre permanente à la vie, à l’homme, à son existence.
La nature, le climat, sont des loups qui dévorent l’homme. Oui, je sais, c’est ridicule, n’est-ce pas ? Mais la vie est un combat permanent face à une nature qui est son ennemi mortel.
S’il est vrai qu’il faut protéger la nature, on doit la combattre dans ses dérives. On doit aussi la combattre dans ce qu’elle produit. Si la vie a horreur du changement, la vie n’est pas la nature ; vie et nature sont antinomiques.
Chaque année, la nature cause des millions de morts accidentelles, du fait de ses dérives. Elle est la cause de tous nos problèmes de santé.
Alors, au travail !, pour vivre le plus longtemps possible, en pleine forme, en régulant les dérives de la nature et en combattant un grand nombre de ses productions néfastes, des champignons vénéneux aux virus mortels.
Je veux rétablir l’ordre des choses ; nous devons tout faire pour sauver la vie quand la nature déraille.
La nature : une déesse ?
Il faut arrêter de considérer la nature comme une déesse. Il faut savoir que la nature tue, par ses dérégulations, mille fois plus, par an, que ce que Tchernobyl a provoqué, il y a de cela plus de trente ans.
La nature tue sans état d’âme tous les êtres vivants. Consacrer 10% des sommes versées aux différentes Cop, y compris la Cop 26, et ce, depuis des années, à la régulation des dérives de la nature, telle que les déserts et les pressions atmosphériques, et nous pourrons alors éviter cancers et grands maladies cardio-vasculaires.
La nature est un monstre. Il faut l’arrêter dans sa folie. C’est pour cela que je propose de réduire les déserts en y installant un millier d’oasis grâce aux techniques actuelles pour produire l’énergie et donc le pompage de l’eau.
En fait, ce n’est qu’une décision politique. Mais, à quoi sert la politique si ce n’est pas pour protéger la vie. Là aussi la politique montre ses dérives et l’argent en est le moteur.
Les milliards qui devraient être versés actuellement n’arrivent jamais là où il faut pour nous protéger d’un climat dont la cause du réchauffement ne provient que de l’avancée des déserts.
Oui, il nous faut toujours prendre une longueur d’avance sur les dérives de la nature.
Quand je demande de réguler les pressions atmosphériques dans des espaces bien précis où l’on vit, ce n’est simplement que pour se protéger des dérives de la nature. L’homme pourra alors mieux vivre, en pleine forme et pendant plus longtemps. Il sera alors protéger par la déesse Hygée, déesse du bien-être et de la prévention pour l’homme.
Nous savons le faire et nous ne le faisons pas : alors, ne nous plaignons pas.