On a voulu une énergie nucléaire

Il y a soixante ans, la France a opté pour l’énergie nucléaire : c’était une grande décision, moderne et économique.

Mais, par facilité, on a conservé le réseau de distribution d’autrefois avec d’immenses déperditions et d’un entretien fort coûteux.

Que diriez-vous si l’on mettait un seul supermarché par département ou par région ? Vous diriez que c’est absurde, n’est-ce pas ? Eh bien, pour l’énergie, c’est la même chose. On construit un supermarché dans une zone proche des consommateurs, il faut construire des mini centrales au thorium proches des utilisateurs et des centres de consommation. Et ce sont les mini centrales qui sont le mieux adaptées.

En agissant ainsi, on pourra diviser le coût du KW par cinq ou par dix et l’on redonnera au paysage sa beauté originelle en faisant disparaître transformateurs et lignes à haute et basse tension.

Nous aurons, dès lors, des centrales enterrées de 70 à 1 000 Mégawatts. Nous aurons un réseau de câbles enterrés et nous aurons, au bout des câbles, une énergie propre et dix fois moins chère.

On aura des réacteurs interchangeables, construits en usine et à la chaîne. Et tout ceci, dans un rayon de 15 km. Il est évident que tous ces réseaux pourront être interconnectés de la même manière que sont enchevêtrés les anneaux des jeux olympiques.

 

Il y a handicap

Il existe le handicap naturel, de naissance ou le handicap accidentel.

Nous, humains, nous avons ajouté un nouvel handicap en laissant se construire les cancers. Mais c’est un handicap que l’on peut éviter, que l’on peut éradiquer, que l’on peut stopper.

À un aveugle, on donne un chien pour l’aider dans son quotidien et dans ses déplacements. Pour le handicap du cancer, il n’y a pas de chien. Mais il existe un dispositif, de la grandeur d’une boîte d’allumettes, pour éviter et stopper la construction des cancers et ce, dès la naissance. Car c’est bien de cela qu’il s’agit : une construction qui s’établit et qui nous accable dès notre conception, dans le ventre de notre mère.

Pour moi, il n’est pas question de soigner mais d’éviter à avoir à soigner, en général le mieux possible et trop souvent, hélas : on se contente de gagner du temps et rien de plus.

Pour tous les virus, un seul écran de feu suffira à les éradiquer tous et cet écran de feu, plus de la moitié des Français en possède un sous la forme d’un petit radiateur soufflant sur une résistance électrique. Faute d’en avoir, vous en trouvez dans tous les supermarchés pour 50€.

Ne faisons pas comme nos dirigeants politiques qui disent construire un bouclier avec l’argent qu’ils nous ont volé avec des taxes absurdes.

Je propose un bouclier contre le cancer et les virus afin de redonner à tout un chacun une forme à nulle autre pareille et d’éviter 250 morts par jour, rien qu’en France.

Et au-delà de ce bouclier, c’est toute une économie qui en sera bénéficiaire.

Pas d’économie sans une bonne santé.

 

 

 

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