Ô mon Dieu, reçois dans ton paradis ces millions de femmes et d’hommes qui sont morts.
Ils mourront encore sur le bûcher de l’incompétence et de l’argent.
Ces ignorants de la nature qui n’ont pas su ou voulu combattre les dérives de la nature avec des moyens naturels et techniques.
Ces morts n’ont rien fait de mal et qu’on n’a pas su protéger.
Je tente, de toutes mes forces, de mettre ces scientifiques, ces politiques, dans la bonne voie mais leur orgueil, leur amour de l’argent, les détournent des causes et des solutions que tu connais encore mieux que moi et qu’ils tardent à appliquer.
Pardonne à ces irresponsables, c’est notre système qui les a détournés de la vie.
Cette vie sacrée dont nous connaissons si peu les fondements et les réalités et que tu nous as confiée gratuitement. C’est probablement parce que tu nous les a confiés gratuitement qu’ils n’en connaissent vraiment pas la valeur.
Ma persévérance me demande de poursuivre mon combat juste le temps de convaincre nos dirigeants que la médecine n’a pas le monopole de la vie. Les solutions que je propose peuvent être appliquées immédiatement, sans détour et avec un coût ridicule.