D’après les économistes et les prévisionnistes les plus sérieux, il nous faudra six à douze ans pour retrouver notre PIB actuel et encore, avec un taux de croissance annuelle de 2%. Ce qui veut dire que l’on n’est pas sorti de l’auberge.
Ces prévisions sont calculées à partir d’un dispositif social et fiscal actuel et ce, en tenant compte de notre production actuelle et de nos exportations calamiteuses.
Les économistes et les prévisionnistes sont partis d’un coût du travail exorbitant mais la révolution fiscale et sociale que je propose réduira à néant leurs prévisions.
Ils ont choisi la solution de facilité au lieu de réagir. Ils se sont contentés de constater le champ de bataille en comptant les morts. Là encore, l’habitude semble être leur ligne de conduite. Ils ont oublié que notre système social et fiscal va être bouleversé par la suppression des charges sur le travail.
En appliquant le système que je propose, qui est lié à l’évidence et qui consiste simplement à transférer les charges sociales sur le budget de l’Etat, le social sera ainsi payé par tous et le fiscal ne sera contesté par personne.
C’est ainsi que nous verrons revenir tous les enfants prodigues qui se sont égarés en Chine ou dans tous les pays asiatiques. Ils ne pourront revenir que s’ils peuvent pratiquer des prix identiques, transport compris, avec les économies chinoises ou asiatiques où le social est payé par l’Etat.
Notre révolution sera celle aussi du monde médical. Il va falloir laisser les chercheurs chercher, en toute liberté, sans être prisonniers de l’argent. Les chercheurs ne sont pas là pour accroître le fonds de commerce des mandarins et des laboratoires.
La santé et l’économie sont étroitement liées mais il faut que la communauté scientifique comprenne qu’il n’est pas absolument nécessaire d’être médecin pour découvrir des solutions sanitaires.
Depuis un siècle, le sanitaire a vécu dans un cocon et n’a pas apporté grand-chose à la vie : on a soigné mais on n’a pas éradiqué les maladies. Ils ont oublié les fondamentaux de la liberté. Ils ont oublié le serment d’Hippocrate par leur incompétence, par l’argent. Ils tuent, tous les jours, des millions de gens qui ne demandaient qu’à vivre.
Si le virus aura tué 30 000 personnes en France, le cancer tue, chaque année, 220 000 personnes, et on s’y est habitué.
La religion qui a voulu imposer l’OMS ressemble étrangement aux religions que nous acceptons depuis 2 000 ans pour gagner notre paradis. On y retrouve des anathèmes, des fatwas, qui ont conduit au bûcher ceux qui voulaient sauver l’humanité. Que reste-il du concept de ces héros ? Ils ont transformé le concept en fonds de commerce.
Il faut donc mettre fin à tout ce qui entrave la liberté. On ne peut pas continuer à accepter les prévisions, bien calculées certes, mais qui ne correspondront pas aux concepts de la révolution économique, sociale et fiscale. Moins de charges, moins de maladies ; en fait, moins de dépenses inutiles, des dépenses qui ne sont profitables qu’à quelques-uns.
Le retour à une nouvelle industrie, à un nouveau médical, ne sera, en fait, que le retour de l’enfant prodigue qui redonnera à la France, sa grandeur, son prestige, sa place dans le monde. Encore, faut-il le vouloir ! Mais cette fois, ce seront les circonstances qui l’imposeront, ce sera une décision collective avec un pouvoir suffisamment relevé pour que le peuple accepte ce séisme, par intérêt.
Il faut en finir avec un capital sauvage. L’économie mondiale va être bouleversée. Il nous faut absolument prendre le train en route et ne pas manquer la première marche qui nous conduira vers la liberté.