Non, une baisse générale induite par un phénomène mécanique de transfert n’est pas une déflation.
On change simplement la place du curseur à l’intérieur d’un système qui entrave le travail. Sans modifier la finalité, on passe de la cotisation sur le travail à l’impôt sur toute la population.
En France, cette baisse des prix n’est pas une difficulté financière supplémentaire de l’Etat mais simplement un réajustement de l’économie financière productrice de notre pays.
Dans le cadre d’une difficulté sanitaire, il faut prendre les moyens de relance de la production et de l’exportation affaiblies par un virus. Et pour relancer la production, il faut relancer les ventes à l’intérieur du pays mais surtout par l’exportation massive qui doit passer d’un déficit de 80 milliards à un surplus de 100 milliards l’an.
Une déflation est créée par la baisse de la production et, en conséquence, des investissements.
La France va avoir besoin de 50 000 milliards d’euros sur dix ans pour reconstruire son industrie qui s’est évaporée en Chine, en Inde et dans tous les pays du Sud-Est asiatique. Pour ce faire, il faut rapatrier cette industrie en lui donnant la possibilité de produire et de vendre à des prix compétitifs.
Ce que je propose permettra d’avoir un pouvoir d’achat important, de 15 à 20% supplémentaires et une marge de manœuvre financière pour l’Etat pour plusieurs années, dans un contexte de paix sociale en France. Cette paix sociale ouvrira la porte à tous les investisseurs européens et français.
De toute manière, la solution que je propose est aussi une solution préventive contre les virus à venir et, à défaut de vaccins et d’antidotes, on reviendra à des solutions naturelles plus simples, plus économiques.
Pour une fois, de grâce, choisissons la simplicité et l’humilité. Ne laissons aucune place à l’orgueil et à la vanité.