Pensez-vous être sur le bon chemin, cette fois, car vous avez souvent changé
de route, que ce soit sur le nucléaire, que ce soit sur l’économie, que ce soit sur
la guerre en Ukraine ?
Il est vrai qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis. Toutefois, il
faut tout de même se fixer un objectif et, pour la France, ce ne sera pas facile
mais pas impossible non plus.
Il est vrai que la chance ne vous a guère souri. Il faudra tout de même que vous
en recherchiez les raisons car le COVID, la guerre, les événements sociaux, ont
tous une cause prévisible. Et demain, il y aura d’autres problèmes à affronter.
Je me garderai bien de donner des leçons, loin s’en faut, mais dans votre
fonction il faut être visionnaire. Tout est possible sauf l’échec de la France.
Non, ce ne sera pas une très bonne année ; elle sera très difficile et peut-être
plus difficile que jamais. Il faut oublier la demi-mesure, il faut reprendre le bon
sens qui mène à l’évidence.
Oui, il vous faudra prendre des risques : quelles que soient les circonstances, on
ne peut jamais rien faire sans prendre de risque.
Bonne année quand-même, Monsieur le Président.
Va-t-on arriver à donner à l’homme ?
Va-t-on parvenir à donner à l’homme sa chance de vivre en pleine forme 150
ans et plus ?
Ce n’est pas un problème d’éthique, ce n’est qu’un problème mécanique. C’est
aussi un problème d’incrédulité.
Oui, un système mécanique peut avoir raison de vaincre toutes les grandes
maladies et tous les virus. Je ne pense pas que la Sécurité Sociale se plaindra de
l’économie réalisée. Je ne pense pas que les mutuelles s’en plaindront.
Je ne pense pas non plus que le patronat ne soit pas preneur car
l’investissement, qui est toujours réalisé sur celui qui travaille, sera prolongé
durant plus de 20 ans. Et ce, sous réserve d’une formation et d’une remise à
jour permanente à l’école de la vie et des techniques nouvelles.
« Monsieur Leclerc : comment pouvez-vous affirmer un tel résultat ? » Tout
simplement parce que personne ne met en cause les mathématique quelle que
soit la forme de calcul, et moi non plus en ce qui concerne les maladies. Ce que
je propose est tellement évident que le monde de la recherche devra s’y
conformer.
Dans le monde politique, nombreux sont ceux qui cherchent à détruire, ne
serait-ce que par une guerre insolente. Moi, toute ma vie durant, j’ai recherché
l’intérêt de l’homme, des Français et des Européens. J’ai toujours utilisé le mot
liberté, y compris dans le monde économique.
Et je parviendrai, une fois encore et peut-être pour la dernière fois, a cassé le
monopole de l’Ordre des Médecins et des laboratoires qui veulent dicter leurs
lois en oubliant la nature.
Pour y parvenir, une fois de plus, j’ai besoin de la confiance de tous les Français
car il s’agit de la vie de tout un chacun.
Oui, ce sera un monde nouveau où tout le monde y gagnera ; faut-il encore le
vouloir. Il est vrai qu’on s’habitue à mourir à moins de 80 ans… L’habitude est
devenue une seconde nature.
Eh bien moi, je veux redonner le moral aux Français en leur assurant une vie
beaucoup plus longue et en pleine forme, en neutralisant la peur, tout
simplement, avec tous les outils dont nous disposons.