Le cancer ne provient pas de cellules qui se multiplient de manière erratique mais de cellules mortes qui s’entassent dans les organes filtreurs faute d’être détruites par les leucocytes.
La mort de ces cellules provient uniquement des pressions exercées sur notre corps, coupant la circulation du sang dans les micro-vaisseaux et les privant d’alimentation en oxygène.
Il faut savoir que ces surpressions peuvent durer parfois de huit à quinze jours et personne ne peut vivre sans oxygène. C’est le cas des cellules.
Nous subissons parfois des pressions atmosphériques à 1040 millibars, les cellules sont alors privées d’oxygènes pendant dix ou quinze jours et les leucocytes ne pourront pas détruire cette avalanche de cellules mortes. Ces cellules vont s’entasser et provoquer des nodules qui, un jour ou l’autre, vont fermenter puis s’infecter.
Bien évidemment, on peut, de temps à autres, extraire ces nodules mais à quoi cela servira-t-il car le phénomène va se renouveler si on n’arrête pas la cause.
Certes, ces cellules manquantes vont se renouveler mais les cellules mortes le sont à tout jamais.
La solution est donc mathématique. La cause provenant de surpressions, il importe donc de les réguler. Et la nature continuant à produire des surpressions, il faut réguler ces variations.
Alors, vous allez me dire que ce n’est pas possible et pourtant c’est si simple. Pour se faire, j’ai déjà écrit et expliqué la fabrication et l’utilisation de ces régulateurs.
Ce ne sont pas nos manières de vivre, ni le tabac, ni l’alcool qui sont la cause des cancers. Mais ils sont tout de même des facilitateurs pour l’installation des nodules dans des organes filtreurs ainsi affaiblis.
Le virus aura tué 30 000 personnes en France cette année. Et, tous les ans, c’est la grippe qui en tue 10 000. Mais je crois qu’on a pris l’habitude que les cancers et les grandes maladies tuent 220 000 personnes chaque année.
Je demande à tous les citoyens et à tous nos dirigeants, non seulement d’y réfléchir mais d’accepter les moyens d’éviter car nous connaissons les causes, afin d’avoir un peuple en pleine forme, heureux de vivre et de travailler sans fatigue.