C’est invraisemblable ! Décidément, avec : « il faudra vivre avec le virus » ou « on a tout essayé », il est certain que l’on ne relèvera pas la France.
Subir est-il devenu notre maxime ?, ou plutôt celle de la politique et de la médecine ?
Est-ce cela le courage ?, l’avenir ?, le combat ? Est-ce cela que l’on apprend à l’école et à l’ENA : baisser les bras avant d’avoir combattu. Ce n’est pas « vivre avec » qu’il faut, alors que l’on a rien essayé du tout.
On devra sans cesse éradiquer les maladies et non prendre l’habitude de vivre avec. Mais qui a pu injecter une telle bêtise ? Serait-ce la facilité ? Serait-ce l’abandon de l‘humanité ? Créer la peur n’évite pas le danger, ne rien faire, c’est encore bien pire.
Il est vrai que même la Terre, cette belle planète, s’ébroue de temps en temps avec des tremblement de terre ou des réveils de volcans, mais, nous, habitants de cette Terre, devrait -on toujours subir ? Nous ne sommes pas venus sur cette Terre pour cela.
Nous sommes venus sur cette terre pour y vivre par le travail et le bonheur et qu’est-ce donc la philosophie qu’on veut nous inculquer aujourd’hui. On baisse les bras, on évacue, avant d’avoir même démarré le combat.
Autrement dit, on pourra se lever le matin, un jour avec la grippe, le lendemain avec deux virus, le surlendemain avec un cancer et le sur-surlendemain avec un AVC. C’est ce que l’on nous propose, en fait. Et on terminera avec une maladie d’Alzheimer ou de Parkinson : c’est cela qu’on nous propose ???, sans même avoir éradiqué les causes.
Nous ne sommes que des enfants de la nature et c’est dans la nature qu’on trouvera les solutions ; cela me paraît logique. On nous crée l’enfer alors que nous étions sur Terre pour un paradis, en travaillant.
Alors, debout la France. Oublions la facilité et battons-nous, chaque jour si nécessaire.
L’économie a ébranlé le monde, les chercheurs sont en cage et pourtant, les solutions ne manquent pas. Les tabous sont tels que plus personne ne souhaite ou ne veut chercher, trouver, réaliser, des solutions.
Est-ce ainsi que l’on a gagné la guerre de 1945?, et pourtant, nombreux sont ceux qui ont pris des risques, que ce soit dans la Résistance ou au combat, et même dans les camps de prisonniers.
Il est certain que les monopoles sanitaires et autres sont là comme le Diable pour tenter l’humanité. Mais où est notre grandeur ? : est-ce le chemin du courage ou du bon sens, ou tout simplement de la liberté ?
Alors, debout la France et acceptons d’essayer toutes les découvertes qui découlent du bon sens. On n’est pas sur Terre pour disparaître mais pour conquérir l’impossible, pour gravir les sommets. A ce jour, c’est la facilité, c’est la déchéance à tous les niveaux. Et c’est un simple citoyen de 81 ans qui vous le dit et vous l’écrit.
Non, personne, ni l’invisible, ne nous asservirons mais l’invisible est plus dangereux qu’un humain. Battons-nous ! Je vous invite à vous battre pour éviter des millions de morts inutiles.
Laissons aux médecins le soin de soigner mais acceptons ce pourquoi nous naissons sur cette Terre. A chacun sa mission : médecins ou pas. Mais dans tous les cas, on doit être au service de l’homme. Pactiser avec le mal, avec l’ennemi, en temps de guerre : on serait fusillé.
Je ne veux plus entendre ces expressions ridicules : « oui, c’est la guerre ». Chaque jour on doit se défendre et se protéger. On ne peut pas tout détruire mais l’on peut toujours se protéger.
Eradiquer est encore la meilleure des solutions.