Les candidats à l’élection présidentielle seraient-ils devenus les enfants de Madame Soleil ?
Il est vrai que, sous le nombre de milliers de promesses, il y en aura peut-être une qui est plus crédible que les autres. Mais, même, pour cette promesse, ils n’en donnent pas les moyens de financement.
Cependant, Madame Pécresse promet et chiffre ce qu’elle propose. Pour tous les autres, ce sont, y compris pour Monsieur Macron, des promesses qui tombent du ciel sous forme de grêlons de la grosseur d’une balle de tennis et qui assomment les Français.
Ce n’est pas ainsi que parlait le Général de Gaulle, il disait et faisait, chaque jour, toute chose à son rythme.
Les Français ne veulent pas de révolution, ils veulent des promesses datées et chiffrées.
En arrivant à l’Élysée, il faudra faire le vide des oracles et des diseuses de bonne aventure, tels que les conseils scientifiques qui ne cherchent pas à savoir et mentent tous les jours.
Car c’est ainsi que l’on arrive, un jour, à une révolte, tout simplement en ayant oublié l’évidence et le refus des solutions. On ne peut pas sans cesse promettre le pour et son contraire. Je sais que dans l’armée il faut toujours attendre le contre-ordre avant d’exécuter l’ordre. Mais, en politique, rien n’est pareil : on promet toujours mais rien n’est réalisé, et, en tous cas, l’essentiel fait défaut.
J’ose espérer que Madame Pécresse, si différente de tous les autres, ne revendiquera pas la filiation de Madame Soleil. J’espère qu’elle sera un rayon de soleil qui permettra d’éradiquer le virus, dès son arrivée à l’Élysée.
Prendre les Français pour des imbéciles
Tous les jours, on nous annonce la fin de la pandémie.
Ce fut pour le 15 décembre, puis pour le 15 janvier, enfin pour le 15 mars. Sur quoi s’appuie-t-on pour annoncer la fin du monde ?
En annonçant la fin de la pandémie pour le 15 juin et son retour au mois d’octobre, je ne m’appuie uniquement que sur l’apparition du soleil et de ses puissants rayons ultraviolets dès le mois de juin et la disparation de ces mêmes ultraviolets au mois d’octobre. L’arme qui tue le virus ne sera plus là et ne sera jamais rentrée dans les locaux clos où les virus continueront à vivre gentiment. Et la cigale aura chanté tout l’été et, une fois de plus, sera « dépourvue quand la bise fut venue ».
L’hypothétique pic et la fin de la pandémie annoncée par des prétendus scientifiques fait honte à l’évidence, à la réalité.
Quant à l’immunité collective, je pense que c’est qu’un mirage de nos scientifiques. Le monde scientifique est si perverti qu’il ne veut même pas mener un combat à la loyal.
Alors, c’est aux Français que je fais appel et je leur dit : aux armes citoyens, ces armes vous les avez chez vous, ressortez vos radiateurs soufflant d’appoint et qui imposeront aux virus de les traverser pour les griller. Ce mur de feu constitué par leurs résistances rougies peut être installé à tout moment, dans toute pièce, dans toute salle close. Ceci est valable pour l’hiver et, en été, s’il reste encore quelque menace de virus, ce sont les rayons ultraviolets qu’il faudra utiliser. Vous pouvez même utiliser ces radiateurs chauffant dans toute salle de réunion en les posant tout simplement sur la table.
Quand je suis sorti de l’école d’ingénieur et que j’ai pris la direction technique des usines Fèvre qui produisaient du marbre, j’ai réussi à tripler la production. Simplement en utilisant le matériel existant et des disques de diamants au lieu d’utiliser des disques au carbure, grâce à mon observation et l’évidence.
C’est pourquoi je vous demande de sortir vos radiateurs soufflants et vous reprendrez une vie en pleine sécurité et en pleine forme.
Cela n’aura coûté que l’électricité utilisée pour chauffer la pièce. Et vous être 15 à 20 millions de foyers à en posséder. Oui, il faut utiliser le matériel dont on dispose. Ce n’est pas plus bête que cela. En tout cas, cela coûtera bien moins cher, car il aura fallu de toute façon chauffer vos maisons et vous aurez évité de devenir des écumoires à injections.
Non, on a préféré dépenser 500 milliards qui ont, certes, permis de vivre, mais qui se sont transformés en dette.
En tuant les virus, on rétablit la paix tandis qu’aujourd’hui le virus circule partout. Nous menons un combat sans fin parce qu’on ne prend pas les bonnes armes.
Alors, aux armes citoyens ! Elles ne tueront personne et redonneront la vie en ne tuant que l’intrus en évitant des blessés avec séquelles épouvantables et durables.