L’Ukraine doit vivre pour assurer la vie de l’Occident.
500 000 Ukrainiens ont déjà donné leur vie en échange de leur liberté.
L’Ukraine n’est pas une chose que l’on partage.
Que Monsieur Trump s’en souvienne.
L’Ukraine, c’est notre futur.
C’est notre bouclier.
Monsieur Trump, vous êtes avant tout un homme d’affaires.
Accepter de donner des territoires à la Russie, c’est de la politique et, dans le cas présent, ce serait de la politique fiction.
On ne peut pas plier devant Monsieur Poutine, ne serait-ce qu’un seul genou à terre.
On sait, à présent, comment cela se termine.
Aujourd’hui, Poutine est chassé de Syrie.
Demain, il sera chassé de tous les pays d’Afrique et de Géorgie.
La Russie est au bord du gouffre.
Elle n’a même plus d’hommes pour aller sur le champ de bataille.
Il faut en finir avec Poutine, dans l’intérêt de la Russie et pour le bonheur de l’Occident.
Il est aussi possible que Poutine termine sa vie comme Hitler dans son blockhaus.
Le pétrole n’a jamais apporté la liberté.
Le pétrole, aujourd’hui, est la seule arme de Monsieur Poutine, mais pour combien de temps ?
Car il ne suffit pas d’avoir du pétrole, il faut encore le vendre.
Et aujourd’hui, sans la Chine, il n’y a plus beaucoup d’acheteurs.
Mais, à la Chine, le pétrole russe est vendu au tiers de son prix et seulement en échange d’armes.
La Chine en profite mais pas toujours de gaîté de cœur…
La France dirigée par un seul homme
On nous dit qu’il y a un gouvernement et un Premier Ministre, mais la France est gouvernée par un seul homme qui est Monsieur Macron.
Aujourd’hui, comme d’ailleurs depuis pas mal d’années, on estime que les ministres sont interchangeables, ce qui voudrait dire que la France est gouvernée par des gens qui ne connaissent pas leur métier et encore moins le Ministère dont ils sont en charge.
Actuellement, à la tête du gouvernement français, se trouve un homme de lettres mais est-ce bien l’homme qu’il faut pour redresser les finances françaises, pour redresser la santé des Français, pour développer notre industrie ? J’en doute.
Il faut que Monsieur Bayrou sache qu’il est difficile d’être au four et au moulin.
Être maire et être premier ministre me paraît difficile tant la charge de premier ministre est lourde.
Il va falloir choisir, même si c’est un déchirement du cœur.
Aujourd’hui, tous les grands pays sont dirigés par des hommes ou des femmes qui connaissent les secteurs qu’ils doivent diriger.
En France, on manipule des pions sans connaissance de l’activité qu’ils doivent développer.
Ce n’est pas l’Institut National du Service Public (INSP), anciennement l’ENA qui va former des chefs d’entreprise et encore moins innover.
On me dira que ses étudiants sont là pour administrer l’Etat mais comment peut-on administrer quelque chose que l’on ne connaît pas ?
Il me paraîtrait logique de mettre à la tête de l’Etat des hommes ou des femmes qui ont déjà exercé une profession en adéquation avec leur charge.
On ne peut mélanger le commerce et la santé, ni la justice et le commerce.
