Le nouveau Premier Ministre anglais vient de donner carte blanche à Kiev pour l’utilisation totale des armes qui lui sont livrées et ce, sans restriction.
La France va suivre et, contraints et forcés, les États-Unis suivront.
Voilà trois ans de perdus et 300 000 morts inutiles. La Russie se doit d’arrêter cette guerre qu’elle a imposée à l’Ukraine. Ce ne sera probablement pas sur les champs de bataille mais par l’envahissement de la Russie par l’OTAN.
L’entêtement de Poutine va avoir une fin. Il est vrai que l’occident a mis du temps pour réagir.
Non, il ne s’agira pas d’une troisième guerre mondiale mais simplement d’un rappel à l’ordre d’un fou à la tête d’un pays qui n’a jamais souhaité cette guerre absurde.
Les hommes, l’occident comme l’orient, ont perdu la tête, car la seule guerre qui vaille et qu’il faille mener, c’est la guerre contre les dérives de la nature.
Ce concept que je propose permettra à l’Ukraine de réparer rapidement les destructions causées par la guerre, en faisant vivre les Ukrainiens en pleine forme et pour longtemps.
Un seul Dieu, tu adoreras
- Un seul Dieu, tu adoreras
- Un seul président, tu accepteras
- Un Premier Ministre, tu aideras.
Mais quelle aide ? De l’argent, je n’en ai pas suffisamment, les discours, j’en ai perdu l’habitude. Un concept de vie en pleine forme, à 180 ans et plus, je donnerai.
Oui, la France doit faire l’exception. Elle donnera au monde entier l’envie de vivre, de travailler et d’être en retraite en pleine forme, à l’abri de tous les écueils de la vie, c’est-à-dire des maladies, des virus, des souffrances inutiles.
Oui, la France va doubler sa population en moins de 50 ans, non par les naissances qui font défaut, mais par le prolongement de la vie au-delà de 180 ans.
Oui, la France va retrouver sa joie de vivre, son vrai pouvoir d’achat, ses lumières. Ce sera grâce à une découverte, mais aussi à un groupe de médecins qui ont compris que le futur n’est pas de soigner mais d’éviter d’avoir à soigner, hormis, bien sûr, l’accident.
Ce sont des médecins qui sortent de l’ordinaire et qui respectent le serment d’Hippocrate. Des médecins qui ont osé passer outre le Conseil de l’Ordre et le monopole de la médecine.
