Les promotions, les prix coûtants ne peuvent durer que le passage d’une étoile filante.
Ne soyons pas naïfs : l’augmentation de tous les produits de base, tels que le lait, le beurre, la farine, le café, le chocolat… et tout ce qui entre dans la composition des produits alimentaires, va inévitablement entraîner une inflation de 10 à 20%.
Oui, l’inflation va être monumentale surtout qu’à tout cela il faudra ajouter le prix de l’énergie, c’est-à-dire le pétrole, l’électricité, le gaz, qui flambent. Je pense qu’il faut briser ce cercle infernal en réduisant les causes de toutes ces augmentations. Et je commencerai par l’énergie électrique qui est indirectement un composant de toutes ces augmentations.
Il en est de même, et c’est le deuxième point le plus important, pour le sanitaire qui va entraîner, en en prenant l’habitude, le renouvellement, chaque année, d’épidémie ou de pandémie, ou de maladies chroniques. Là aussi, on ne veut pas chercher les causes car la cause rapporte moins que le résultat.
Alors, on va laisser flamber les salaires au lieu de diminuer les prix de 20% en excluant toute charge sur ces salaires, faute d’avoir compris que cela ne sert à rien de les augmenter, cela ne fera qu’envenimer les choses.
Il n’y a qu’un secteur, dans notre pays, où il n’y a jamais de promotion ni de prix coûtant, c’est le monde du médicament, du médical et du sanitaire. On fait crever nos entreprises pendant que les laboratoires explosent en prix et en profit. Et ce phénomène-là s’applique aussi malheureusement à tous les sans-rien et à tous les « emmerdeurs ».
A Monsieur le Président de la République et à tous les candidats, il va falloir faire face à tous ces problèmes, non pas en les citant mais en leur apportant des solutions.
Le monde de l’écologie n’a montré qu’une seule face de ce que pouvait engendrer ses propositions. En s’opposant au nucléaire, les écologistes s’opposent à la France. En accumulant les normes que l’on impose à tous nos fabricants, on détruit la France car les produits que nous mangeons ou que nous utilisons aujourd’hui ne sont pas meilleurs qu’hier et loin s’en faut.
Notre France, malheureusement est en queue de peloton partout, ce qui ne lui apportera aucun bonheur.
Il n’y a pas un seul Français qui ne soit pas écologiste, par nature, mais de là à en faire un parti politique, c’est une autre mesure. L’écologie politique est devenue un instrument de destruction de notre pays.
Va-t-on, un jour, se réveiller et comprendre qu’il ne faut pas subir la mondialisation mais la réguler et, pour cela, il faudra une France forte. Et ce ne sont pas, ni les promotions, ni les produits à prix coûtant qui résoudront le problème, on ne fait que le décaler dans le temps.
Pour résumer, il nous faut agir sur un certain nombre de leviers :
- l’école, en donnant envie d’apprendre
- le sanitaire, en donnant l’envie d’éviter l’hôpital
- l’énergie, en disant aux écologistes : ça suffit ! Ils ont bâti une arme contre la France en refusant systématiquement le nucléaire d’hier sans chercher à comprendre que le nucléaire a aussi évolué.
Le cancer, les virus, une fatalité, un hasard ?
Bien sûr que non ! Le cancer, les virus, ne sont pas une fatalité ni un hasard.
Dès notre naissance, nous aurons à subir des épidémies et nous aurons aussi à supporter la construction mécanique des cancers. C’est le serpent de mer qui coûte à la France une fortune et ce sont toujours les plus pauvres qui en supportent les plus grandes conséquences.
Le cancer, on n’ose même pas penser qu’il puisse démarrer dès la naissance, chez tout le monde, et qu’il va se construire pierre par pierre au cours des mois et des années jusqu’au jour il prendra trop de place. Bien sûr, on peut retirer la construction en place mais elle reconstruira nécessairement à nouveau : c’est la situation actuelle. Et ce qui est plus grave, c’est que l’on s’y habitue. Hier, on s’est habitué au cancer, aujourd’hui, on s’habituera aux virus.
Mais nous, Français, comment a-t-on pu en arriver là ? On n’a même pas cherché les causes, je dis bien les vraies causes qui sont le point fondamental de ces maladies.
Pour les virus, on s’est contenté de soigner les conséquences et on a refusé d’éradiquer le virus. Pour le cancer, la seule cause de sa construction provient des variations des pressions atmosphériques et celles-là dureront éternellement car il s’agit d’une dérive de la nature. Et, là aussi, soigner semble plus intéressant que d’éviter, et pourtant, quel est le problème de réguler, dans sa chambre ou dans son bureau les variations des pressions atmosphériques ?, rien ne s’y oppose. Et, comme pour une hémorragie, il faut desserrer l’étau de la pression, durant quelques heures.
Les propositions que je fais apparaissent être celles d’un fou, mais cela, on le savait déjà. De toute façon, à chaque fois qu’on innove, c’est un grain de folie qui en est l’origine. C’est pourquoi je demande instamment aux autorités de ce pays, non pas de reconnaître leurs erreurs mais de se pencher sur les solutions que je propose et qui semblent être évidentes.
Éradiquer les virus est encore plus évident et plus simple car un virus ne traversera jamais indemne un mur de feu et quand je propose de se servir d’un chauffage d’appoint soufflant, c’est les faire traverser un mur de feu.
Rien n’est fatalité, ni hasard, il faut simplement faire ce qu’il faut.