On a tué le roi et avec lui la royauté et l’on a multiplié depuis les privilèges par dix : on a créé les monopoles et encouragé la spéculation. Bravo ! et tout ceci nous a conduit à 2 400 milliards de dettes. Il faut reconnaître qu’il faut être doué pour en arriver là !
Les privilèges doivent être supprimés
La dette a commencé après la création de l’ENA : de 20 milliards, à l’époque, on est passé à 2 400 milliards d’euros.
Des privilèges, il y en a partout, cachés ou invisibles et, bien souvent, au bénéfice des employés de l’Etat qui se croient investis d’une mission divine.
La politique a creusé les puits, probablement pour chercher de l’eau, mais elle a trouvé de l’or. La Haute Administration en a fait une carrière, peut-être pas en général, car il ne faut jamais tout généraliser mais ils sont si nombreux ceux qui en bénéficient.
Les monopoles, censés protéger l’intérêt général de la Nation, en a fait des pompes à frics pour le bien-être de l’Etat-privilège. Il faut bien reconnaître, sans orgueil, que les politiques et la haute Administration, forment une classe à part, voire une secte qui s’enrichit en écrasant le travail et le travailleur.
La dette, ce n’est pas leur affaire car, en définitive, c’est le petit peuple qui paiera la dîme.
Oh ! je sais que ce n’est pas agréable à entendre, mais c’est la vérité. Tous les discours ne sont que mensonges et il n’est pas rare que ce soit par des moyens tout à fait peu honnêtes.
Le peuple ! mais qu’est-ce donc cette chose qui permet à cette secte de bien vivre et de s’enrichir rapidement ? Et, pendant ce temps, pour créer une véritable entreprise, c’est aujourd’hui un chemin de croix et l’on est toujours en équilibre sur un fil bien tendu, ponctionné sans cesse par l’Etat qui devrait normalement aider à créer cette richesse.
Y aura-t-il un jour un Président qui osera mettre fin à tous ces privilèges, à tous ces monopoles, à tous ces spéculateurs qu’il ne faut pas mélanger à tous ces investisseurs. Ils ne sont pas nombreux ce qui peuvent porter dignement ce nom d’investisseur.
Monsieur le Président, c’est la démocratie qui est en cause et ce n’est pas avec un taux de croissance de 1,2 à 1,4% et un PIB en berne ainsi que des importations massives et des exportations insuffisantes, que l’on progressera.
Et l’on s’étonne que l’on ne progresse pas ? Non, Monsieur le Président, tant que l’on n’aura pas donné au travail que l’on martyrise par des charges, ses lettres de noblesse, la France ne s’en sortira pas.