Leur progression se fait déjà sentir au sud de l’Espagne mais aussi au sud de la France. Les déserts ont franchi le détroit de Gibraltar. A ce rythme, les déserts seront à Paris dans moins de 100 ans.
Ce n’est pas demain qu’il faudra se réveiller et l’on a déjà pris beaucoup de retard.
Il faut attaquer les déserts au-delà de la Méditerranée et du détroit qui nous en sépare. L’Espagne est un avant-poste pour le combat.
S’adapter à cette situation serait catastrophique. Eviter cette progression est aujourd’hui une nécessité absolue et ce, depuis le centre du Sahara.
On nous dit : « que faire, il n’y a pas d’eau ». Mais c’est faux, sous le Sahara existent les plus grandes nappes phréatiques du monde. Il suffit les pomper.
Pour ce faire, ce qui n’était pas très facile hier, par faute d’énergie électrique, est rendu possible aujourd’hui en installant des centaines, voire des milliers de mini-centrales nucléaires.
Ceci permettra de transformer le Sahara en un véritable jardin et l’on stoppera ainsi la progression des déserts.
C’est un projet pharaonique mais toute l’Europe et l’Afrique doivent s’y attacher.
Nous avons à peine 50 ans devant nous pour que la Brie et la Beauce ne soient pas des déserts. Bien sûr, cela n’arrivera pas parce que le bon sens aura triomphé avant.
N’est-il pas nécessaire de le crier haut et fort et de ne pas attendre qu’il soit trop tard ?
Il est surprenant que nos dirigeants n’envisagent plus ce qui se passera dans 100 ans. Il ne faut pas s’en étonner, on voit déjà les résultats en Ukraine pour ne pas avoir fait le nécessaire. Subir le désert, c’est tout aussi catastrophique que de perdre la liberté.
Les médecins dépendent des ingénieurs
La médecine a besoin des ingénieurs pour déceler les maladies au moyen de scanners et autres.
On utilise de plus en plus de matériel sophistiqué et chaque maladie nécessite une nouvelle découverte ou invention.
La médecine a du mal à accepter les ingénieurs pour éviter les maladies et pourtant, plus de 90% des maladies proviennent des dérives d’une partie de la nature.
Le stéthoscope ne suffit plus. On n’utilise pas suffisamment les techniques et les mécaniques pour détruire les causes qui rongent notre vie.
Ce sont les effets ou les conséquences physiques, magnétiques et solaires de la nature qu’il nous faut réguler. On a régulé le chaud et le froid, on tente, tant bien que mal de réguler la pureté de l’eau et de l’air. Mais il s’agit d’éléments visibles et on a oublié l’invisible.
On a oublié les constantes de la vie, celles qui nous font vivre.
On parle sans cesse de mondialisation mais que fait-on pour préserver notre vie ? Le beau, le bien, le solide, la qualité, les normes, les constantes, sont brûlés sur l’autel des effets de la nature, de l’argent et de la bêtise humaine.
Tout ceci nous conduits à une vieillesse prématurée, à des maladies dont on n’a pas cherché la cause et que l’on préfère soigner.
Pourquoi se faire du mal, pourquoi refuse-t-on le bien-être que nous offre le respect des constantes ? On se détruit en nous disant « on n’y a pas pensé. ».
On en a fait un commerce. Mais dans le commerce, il y a aussi des règles et dans la vie, nous avons nos règles.