C’est toujours la faute des Français. Quand quelque chose va mal, les gouvernements n’ont jamais le courage de se remettre en cause.
L’intérêt de la dette de la nation va encore aggraver la dette. 3 000 milliards de dettes représentent, à ce jour, 60 milliards de plus en ce qui concerne les intérêts, chaque année.
La demande de baisser la consommation n’est, en fait, que la faute des gouvernements et non un problème technique. Je demande au gouvernement français de changer son fusil d’épaule. Je demande au gouvernement de baisser tous les prix de 20% par un simple transfert des charges sur les salaires, sur le budget de l’État.
Que se passera-t-il alors ? La consommation progressera, le pouvoir d’achat augmentera, nos ventes à l’exportation exploseront, la suppression des charges sur les salaires des fonctionnaires permettra une économie de 100 milliards pour l’État, chaque année. Enfin, il est urgent de reconsidérer le coût du social sans en réduire les avantages.
Chaque année, le COVID coûte 300 à 400 milliards à l’État et à la Sécurité Sociale. Le cancer coûte plus de 1 000 milliards, chaque année, par la perte des heures de travail et les soins.
Oui, la dette va continuer à s’aggraver et les promesses de notre Ministre des Finance d’aujourd’hui n’engage que lui qui sait pertinemment que ce qu’il dit est faux. On patauge dans un magma puant. Le courage n’est pas à l’ordre du jour.
Une fois de plus, on va mettre cela sur les effets de la guerre en Ukraine. En achetant gaz et électricité en Russie, on savait qu’on se mettait sous la dépendance de la Russie : pas très joli tout cela.
Et l’on vient nous dire aujourd’hui que le cancer est un gène à la naissance : comment ose-t-on dire cela ? Oui, le cancer se construit dès la naissance, par une action extérieure à l’homme.
On va encore mettre la cause de nos malheurs sur la mondialisation. Mais qu’attend-on pour réguler la mondialisation ? Le gaspillage, le mal-être, ne semblent pas réduits dans le budget de l’an prochain.
Non, je ne suis pas un magicien, mais un technicien, un ingénieur, qui s’est simplement rendu compte qu’on pouvait faire des économies monumentales en passant outre l’incrédulité des gouvernants. Et si, aujourd’hui, nous sommes en difficulté, nous n’avons qu’à nous en prendre à nous-mêmes.
Faire des économies, c’est d’abord prendre un nouveau chemin, celui du bon sens et de l’évidence.
Un homme en pleine forme produit…
Une personne en pleine forme produit 30 à 50% de résultats supplémentaires dans son travail.
En fait, aujourd’hui, on perd un an de travail, tous les cinq ans et ce, d’une manière exponentielle au cours des années.
Entre un homme en pleine forme et un homme frappé par la nature, c’est 50% de résultats en moins à la clef.
Je ne parle pas du bien-être, et encore moins de la peur qu’engendrent les maladies. Je n’ose même plus parler des morts qu’engendre l’incompétence. Et, cerise sur le gâteau, c’est une vieillesse désastreuse qui nous attend mais que l’on pourrait transformer en une vieillesse de rêve.
Un homme en pleine forme, c’est aussi un athlète en pleine forme qui va conquérir des médailles.
