Comme les cancers humains qui représentent déjà 50% des morts en France, les cancers économiques sont des montages financiers fallacieux, destructeurs.
Remettre les clefs de nos industries et de nos entreprises, quelles qu’elles soient, à des fonds de pension, c’est créer une dette qu’on ne pourra jamais rembourser. C’est ainsi que les fonds de pension font fortune. C’est en utilisant tout ce qu’il y a de bon dans une entreprise et en ne mettant jamais en parallèle le personnel ou les ouvriers qui y travaillent.
Mettre un fonds de pension dans nos entreprises, c’est commencer une liquidation aux enchères, c’est ruiner les dirigeants.
C’est ainsi que l’on voit des brevets de haute valeur repris par des financiers qui vont les revendre à prix d’or.
Aujourd’hui, par la négligence du pouvoir, des milliers d’entreprises sont atteintes d’un cancer.
C’est le cas, suite à des charges patronales qui ne permettent plus d’être compétitifs dans le concert des nations.
Vous parlez tous du Général de Gaulle. Il était probablement le seul à ne pas avoir de cancer. On a tout de même réussi à le tuer au cœur. Il était le seul à avoir voulu mettre en place la TVA sociale que j’appelle aujourd’hui le réacteur social. C’est une simple mise à jour de cette TVA sociale souhaitée par le Général de Gaulle.
Va-t-on laisser toutes nos entreprises passer entre les mains des Américains ou des Chinois qui n’ont pas la même règle sociale que nous ? Il faut accepter l’évidence.
On a un peu l’impression qu’en France changer le financement du social est une montagne. La France est une super nation qui a de multiples idées mais qui sont gâchées par un système qui n’est plus du tout valable dans le cadre de la mondialisation.
La crise du virus va amplifier la détérioration de notre économie.
Il y a toujours un loup pour dévorer la proie.
Dieu du ciel ! Viens au secours de cette patrie car elle a besoin de bon sens et d’évidence et la France redeviendra ce qu’elle était.
Il est toujours facile de se cacher derrière le petit doigt jusqu’au jour où le petit doigt est dévoré.