Il est certain que ce n’est pas le gouvernement qui en soit la cause mais derrière les morts, derrière les effets médiatiques, n’y a-t-il pas une occasion subliminale pour cacher l’immense crise financière qui se dessine depuis déjà deux ou trois ans, dans le monde.
On a décidé, un jour, de fabriquer du papier-monnaie sans la moindre contrepartie et ceci est valable pour tous les pays du monde. C’était la solution de facilité.
On a tout acheté et fait fabriquer tout ce qui était possible, en Chine, à bas coût. On est allé là-bas par milliers. Tous les pays y sont présents et on fabrique à bas coût, à tour de bras, en étouffant nos propres économies.
On aura même hérité, en prime, un virus à bas coût…
Enfin, pour l’instant, la dette a quelque chose de constructif mais une construction basée sur un château de cartes. Il aura suffi d’une carte, d’un virus, pour que le château s’écroule.
Alors, Monsieur le président, je vous en supplie : il faut, coûte que coûte, rentrer dans un nouveau monde, avec de nouvelles méthodes, avec de nouveaux systèmes sociaux et fiscaux. La règle de 1946 est terminée et ne pourra plus être appliquée car c’est cette règle-là qui, aujourd’hui, déséquilibre notre économie mondiale car cette règle n’est pas appliquée en Chine et elle est la source des coûts.
Le subliminal peut être une photo furtive ou un dispositif furtif mais, en général, le subliminal est fait pour détruire.
Après avoir mis de l’ordre dans nos systèmes sanitaires et économiques, on pourra peut-être alors allé voir ce qui se passe sur les autres galaxies.
Il ne faut jamais détruire avant d’avoir construit y compris pour les appartements dans les tours : on détruit des tours et souvent les gens qui y habitent ne sont pas relogés.
Non, il ne faut pas lâcher la proie pour l’ombre. Aujourd’hui, l’ombre n’est pas rentrée dans les mœurs, il faut donc se protéger de tout ce qui peut tuer.
Et nous constaterons que contre tout événement naturel, que ce soit des virus, ou que ce soit des cancers, il faut se protéger d’une manière naturelle et physique mais, en aucun cas, chimique.