Le médecin, comme l’indique le caducée que tous exposent sur leur pare-brise, est, en fait, un dresseur de deux serpents qui entourent la branche d’olivier et qui se mesurent comme pour se battre. En fait, la branche d’olivier représente le corps de l’homme soumis à la pression du serpent qui étouffe les cellules du corps.
Ces deux serpents ressemblent étrangement aux cyclones et aux anticyclones qui, dans le ciel, se repoussent l’un et l’autre.
Le rôle du médecin est donc de dresser ces serpents et, pour ce faire, il faut qu’il demande à son patient de se mettre à l’abri de ces deux serpents, ces deux forces atmosphériques qui se contrarient. C’est-à-dire qu’il est nécessaire de se protéger de l’un et l’autre en maintenant la pression atmosphérique à 1013 millibars.
C’est certainement le meilleur médicament que pourra prescrire le médecin mais faut-il encore que le médecin le sache et il apparaît que, dans aucune école de médecine, quiconque ne parle des conséquences de la pression atmosphérique.
Bien sûr, l’atmosphère paraît tout à fait innocente mais, en fait, il s’agit d’une lutte permanente et désordonnée que nous vivons en permanence au-dessus de nos têtes et ces forces serpentent autour de notre planète, sans cesse.
Ces forces sont incroyables et l’incidence sur le corps humain peut faire varier le poids de la pesanteur qui représente tout de même 40 tonnes sur le corps. Cette pression sur le corps humain peut varier de plusieurs tonnes selon le degré de pression atmosphérique.
Le corps est une installation qui fonctionne bien avec des tuyauteries qui sont conçues pour supporter une pression normale. S’il arrive que les pressions varient, l’incidence sur ces micro-tuyaux que sont les micro-vaisseaux peut aboutir à l’obturation de ces vaisseaux, soit par écrasement, soit par implosion.
C’est la cause du cancer et de multiples maladies qui, en fait, font une sélection sur l’humain.
Bien sûr, le médecin a les possibilités d’utiliser les armes qu’il possède. Il parviendra à tuer la tumeur mais ne l’empêchera pas, ni d’exister, ni de se renouveler.
Je sais que ce n’est pas l’analyse habituelle qui est faite de ce caducée mais, tout de même, il existe une drôle de corrélation avec celle-ci.
Devant toutes ces explications, il apparaît que la seule solution n’est pas de détruire les anticyclones, mais de s’en mettre à l’abri. Je crois qu’un petit nombre de médecins ou de chercheurs commence à prendre conscience de la réalité de ces faits.
Détruire une tumeur n’est pas suffisant. Il faut empêcher qu’elle se reconstitue et on ne peut le faire sans se préserver des pressions atmosphériques qui tuent nos cellules en les privant, et d’oxygène, et d’alimentation.
Je sais qu’il existe des dispositifs qui permettent aux cellules de vivre par aérobie mais si cette technique apporte de l’oxygène, elle ne nourrit pas la cellule qui va donc se loger, une fois morte et non détruite, dans l’un des organes les plus fragiles de notre corps.
L’objectif est donc de neutraliser les deux serpents.