Le G7 seraient-ils des bandes de malfrats drogués et accros à la cocaïne du crédit ?
Une bande de malfrats intoxiqués au crédit
Qu’ils acceptent de se regarder dans une glace et ils verront qu’ils ne sont plus les hommes qu’ils étaient. Leurs yeux, leurs gestes, leurs paroles, deviennent celles de drogués à la cocaïne du crédit. Ils ne sont plus eux-mêmes crédibles et ils zigzaguent, ne sachant plus que faire. Docteurs : imposez-leur une cure de désintoxication !
Jusque-là, ils se contentaient de voler les parents, aujourd’hui, ils volent les enfants. Mais jusqu’où iront-ils ?
Aujourd’hui, la drogue des politiques n’est pas la cocaïne mais l’argent d’un crédit, d’une dette dont le mécanisme a été de mettre à leur disposition de l’argent qui ne leur appartenait pas. Cette drogue rend fou et elle est dangereuse. Et à quoi sert cet argent car il n’y a rien de concret et de réalisé si ce n’est de maintenir un pouvoir d’achat fictif que nos enfants devront payer ?
Alors, c’est vrai, il y en a quelques-uns qui décrochent car ils ne veulent pas mourir d’une overdose politique.
100 milliards par an de dette supplémentaire, c’est 3 000 € par an et par ménage, c’est-à-dire 250 € par mois. Et vous osez réellement dire que le pouvoir d’achat progresse ? Sans oublier que le taux de croissance est en berne, aux alentours de 1,2 à 1,4% l’an.
La drogue de l’argent-crédit, argent facile et sans retour, vous rend aveugles et ne vous permet plus de choisir le bon sens. Alors, Messieurs, revenez à la simplicité, à celle du courage, à celle qui nécessite une pédagogie, en montrant l’exemple. C’est celui qui permettra à tous les Français de mieux vivre, dans un pouvoir d’achat réel et non virtuel. Nous sommes dans une véritable escroquerie.
Les fournisseurs de drogues : les fonds de pension et autres, vous rendent dépendants les uns des autres. Et au G20 et au G7, vous allez tous être solidaires car vous prenez un magot qui n’est pas à vous et vous le dépensez lâchement.
De plus, il arrive qu’après un hold-up, il y ait un des malfrats qui veuille conserver l’argent et qui ne se gêne pas pour tuer ses complices. Devant un tel danger, il faut réagir. Il faut prendre toutes les dispositions qui permettront de couper la source de cette drogue.
Et, chose curieuse, vous la combattez quand il s’agit des particuliers. Alors, pourquoi pas pour les politiques ? Comment osez-vous parler de pouvoir d’achat à partir du moment où vous prenez cet argent dans la poche de vos enfants. Mais, attention : le puits est devenu si profond qu’il n’y a plus d’air et l’on étouffe à moins d‘y injecter de l’air, et l’air ne viendra que de l’accroissement de la production.
N’avez-vous vraiment pas l’impression, Messieurs, de faire un mauvais rêve ? Cela ne hante-il pas vos nuits ? Bien sûr que si, c’est votre cauchemar permanent mais les drogués que vous êtes, après une nuit de cauchemar, recommencent, le lendemain matin, à se droguer.
Il n’est même pas pensable de parler de pollution tant le danger de la drogue que vous utilisez est immense. La pollution n’est rien à côté de la drogue du crédit.