La vie n’existe que dans un agglomérat de constantes. La nature n’est qu’un agglomérat de variantes visibles ou invisibles, ressenties ou pas.
Dès sa naissance, l’homme est jeté en pâture aux fauves. Il se doit de les dresser ou de les réguler.
Depuis fort longtemps, depuis des siècles, on représentait ce phénomène avec l’archange Saint Michel terrassant le dragon ou encore David et Goliath.
Ce devrait être grâce à son intelligence que l’homme peut survivre. Il y a des choses qu’il a bien fait : l’habitat où il se protège physiquement, le chauffage pour réguler le chaud et le froid, le sec et l’humide et le rayonnement duquel on se protégeait dans les cavernes autrefois, dans une maison à présent.
La médecine a été créée pour soigner les blessures en provenance de toutes ces dérives.
Aujourd’hui l’homme veut se protéger de l’invisible que sont les pressions atmosphériques et les flux magnétiques. Ces deux variantes empêchent l’homme de vivre longtemps et en pleine forme. Elles dérèglent le système de circulation du sang et s’attaquent aux cellules. Les cellules ne peuvent y résister et meurent, entraînant avec elles un déluge de maladies et d’espérance de vie.
Aujourd’hui, je propose, comme on a régulé le chaud et le froid, ressentis, d’installer un équipement mécanique appelée Hygée le régulateur pour pouvoir réguler ces dérives.
Les anges blancs et les anges noirs
C’est la vision qu’ont donnée les religions pour représenter le bien et le mal.
Il semble qu’aujourd’hui on puisse arriver à conserver les anges blancs, c’est-à-dire le bien et à éviter les anges noirs, le mal.
Mais pour cela il faut oser s’attaquer à l’invisible, la peur de la sanction d’un dieu invisible. Il est du devoir de l’homme de protéger ses enfants, leur vie, la durée de cette vie, et leur bien-être.
On ne s’attaque pas à Dieu mais aux dérives de la nature, qui est aussi sa création. Car Dieu a donné une intelligence à l’homme pour faire le tri entre le bien et le mal.
La médecine, qui a soigné pendant des millénaires, se doit aujourd’hui d’éviter d’avoir à soigner, en maîtrisant les causes et les dérives.
Pendant des siècles, la solution a été de prescrire des médicaments pour moins souffrir. Aujourd’hui, je propose la solution pour bien vivre et très longtemps, en pleine forme.
Les médicaments et les recherches coûtent des centaines de milliards à la société qui se trouve aujourd’hui au bord du gouffre.
On utilise la moitié de son travail à payer les médicaments et une médecine qui n’a pas réussi à dresser les bêtes fauves invisibles.
Nous sommes aujourd’hui en mesure de réguler quasiment toutes ces dérives en un lieu donné, pendant un temps donné, afin de laisser nos cellules respirer et souffler.
A la radio, à la télévision, j’entends tous les jours le souhait d’aller conquérir d’autres planètes. Mais s’il y a de la vie là-bas, le moins qu’on puisse faire, c’est de ne pas leurs transmettre les causes de nos maladies…
