La transition écologique ne doit pas se faire au détriment des Français et encore moins de leur pouvoir d’achat. Des éoliennes, par exemple, produisent une énergie 3 à 4 fois plus chère que l‘énergie nucléaire. Il en est de même des panneaux solaires.
La transition écologique dépend de monopoles qu’il faut casser
On ne peut pas dire que les éoliennes et les panneaux solaires améliorent le paysage que nous souhaitons conserver sachant d’autant plus que l’énergie en France pourrait être divisée par deux s’il n’y avait pas un monopole de l’énergie.
Il faut savoir que pour 100 KW produits dans les centrales, à peine 10 KW sont utilisés par les consommateurs et tout ceci en raison de perte de charges tant au niveau de la centrale où l’uranium utilisé ne l’est qu’à 60 % et que, de la centrale à l’utilisateur, il y a obligatoirement 6 transformateurs et des lignes aériennes où la déperdition est considérable.
La seule solution qui permettrait de diviser le prix de l’électricité par dix, c’est la production sur place, chez l’utilisateur et par l’utilisateur. Ce dispositif permettrait l’élimination des centrales dangereuses et la modification importante du paysage français.
De plus, la réduction du prix du KW divisé par dix entraînera une augmentation du pouvoir d’achat de 12%.
Nous savons ce qu’il faut faire et comment il faut le faire. Les Chinois ont trouvé la solution, elle sera exploitée d’ici deux à trois ans. Il s’agit de mini-centrales, de la dimension d‘1 m3 que chacun pourra utiliser chez soi. J’en ai d’ailleurs commandées 500 pour les entreprises, les commerces, les industries.
Il faut arrêter de nous mentir
On va vous dire : le thorium utilisé est dangereux. Il faut arrêter de nous mentir : quand dans une voiture du style Cadillac on utilise le thorium, pour faire rouler la voiture sur 400 000 km il ne faut que 10 gr de thorium.
Nous avons actuellement les moyens, à ce niveau d’utilisation du thorium, de supprimer la totalité des risques et la totalité des rayonnements de quelque nature qu’ils soient, en précisant, de plus, que le thorium ne peux pas exploser et que les déchets qui en résultent sont de l’ordre d’une boîte d’allumettes pour une puissance de 100 000 KW tandis que l’uranium nous coûte des sommes fabuleuses pour déplacer, dans des souterrains, ses déchets où ils resteront radioactifs pendant des milliers d’années. Les déchets du thorium ne restent radioactifs que pendant 10 ans.
D’autre part, il y a un autre problème qui concerne, cette fois, la pollution mais qui, à mon avis, n’en est plus un car tous les véhicules, quels qu’ils soient, rouleront à l’hydrogène d’ici 3 à 4 ans. Et l’hydrogène permettra aussi dans l’immédiat d’alimenter les foyers, les industries, pour le chauffage.
L’hydrogène a un coût qui, dans les conditions actuelles, est légèrement supérieur au fuel mais sa puissance énergétique est le triple du fuel. L’hydrogène étant produit à partir de l’électricité, en réduisant le coût de l’électricité, on réduira le coût de l’hydrogène. Par conséquent, le problème de pollution est un problème résolu si ce n’est tous les freins qui y seront mis tant par les pétroliers que par l’Etat qui est en parfaite contradiction avec ses dires.
Et le climat trouvera sa solution
Dans la transition écologique, il y a le problème du climat et, là encore, nous savons ce qui doit être fait. Car ce n’est pas par hasard que tout d’un coup les températures augmentent, faisant fondre les calottes glaciaires. Poussée par le courant du Gulf Stream, c’est la chaleur du Sahara qui est croissante, qui nous est envoyée par les airs.
Depuis une cinquantaine d’années, les déserts progressent à la vitesse de 18m² à la seconde. Nous savons ce qui doit être fait. Ce qui était impossible hier ne l’est plus aujourd’hui. Il n’était pas possible hier de pomper l’eau des nappes phréatiques qui sont en abondance sous les déserts et spécialement sous le Sahara.
En remettant en cultures, en forêts, une partie du Sahara, tout au moins en arrêtant sa progression, on arrêtera d’un seul coup le réchauffement climatique, la misère dans les pays limitrophes et nous mettrons un terme à l’immigration massive.