Non seulement elle ne prospère plus mais les vingt dernières années de vie sont de plus en plus douloureuses.
La natalité s’écroule.
Où allons-nous ?
Ne pensez-vous pas qu’il faille :
- faire le nécessaire pour prolonger la vie en pleine forme
- considérer qu’élever les enfants soit un travail comme les autres. Quand l’homme ou la femme élèvent les enfants, ils y passent plus de temps qu’au travail. Il serait normal qu’ils perçoivent directement un salaire, avec des garde-fou en cas de défaillance.
Tout le monde y gagnerait :
- l’Etat qui retrouverait une jeunesse éduquée et instruite
- la famille qui rétablirait son équilibre physique. Bien évidemment, ce ne serait pas une obligation mais un choix.
Avoir des enfants et travailler en dehors du foyer n’est pas possible, tout du moins jusqu’à ce qu’ils aient 15 ans. Les allocations familiales ne sont même pas à la hauteur d’un SMIC.
Aujourd’hui, les enfants sont dans la rue en l’absence des parents. Mais à partir du moment où les parents ne s’occuperaient plus de leurs enfants, il est évident que ce salaire parental serait supprimé.
En agissant ainsi l’Etat pourrait revaloriser les diplômes des enfants qui, aujourd’hui, ne représentent plus grand-chose.
Il ne faut pas considérer l’éducation des enfants comme un sacrifice ; c’est un devoir de l’Etat et elle doit être financée par l’Etat.
Homme et nature, à couteaux tirés
Le duel risque de conduire à la mort de l’homme.
La nature considère l’homme comme un ennemi qui la pollue, qui ne cherche pas à la protéger.
L’homme ne recherche plus que le profit qui l’assassine avec des produits chimiques à tout moment de la vie.
La nature se venge en se déréglant, rendant impossible à l’homme une vie normale.
La troisième guerre mondiale sur cette terre sera la guerre entre l’homme et la nature.
Cette guerre est déjà engagée en laissant les déserts se développer, en laissant les constantes à la dérive, entraînant des maladies de toutes sortes.
Il est urgent de remplacer la chimie par des techniques nouvelles, techniques mécaniques que l’homme sait si bien découvrir.
Nous sommes les gestionnaires de notre vie : on se doit de protéger la vie.04
En gérant notre vie convenablement, nous pourrons doubler sa durée et, de surcroît, cette durée sera agréable à vivre, à l’abri de tous les écueils de la vie.