La courbe des nouveaux cas sera inversement parallèle à la courbe des températures que nous subissons chaque jour, avec un décalage de quelques jours.
La courbe qui nous est présentée est une caricature par rapport à celle de mars 2020 car les données ne sont pas les mêmes.
De même, cette année, la courbe des décès par cancer sera parallèle à la courbe des pressions atmosphériques journalières. Depuis le début de l’année, rares ont été les jours où l’on a dépassé les 1020 à 1025 millibars de pression atmosphérique (seuil limite pour ne pas faire pression sur les vaisseaux). Il y aura donc, cette année, beaucoup moins de décès par cancer. Tout ceci confirme la nécessité de réguler les pressions atmosphériques.
Quant au virus, n’ayons pas la lâcheté d’attendre le soleil de l’été. Fabriquons nous-mêmes un soleil artificiel. Chauffons partout : chez soi, au travail, à l’école. Mettons en place des couloirs sanitaires en les équipant de lampes à ultraviolets. La chaleur couplée à ces rayons permettra de neutraliser le virus et de le tuer.
Et pour tous ceux qui sont atteints, au risque de me répéter, pourquoi ne pas faire inhaler au malade, de l’oxygène à 40°. Et plus encore, les techniques nouvelles nous ont permis de réaliser des lampes à ultraviolets de la taille d’un crayon : pourquoi ne pas s’en servir quand le besoin d’entuber le patient devient nécessaire, de façon à absorber le rayonnement du virus, le rendant inoffensif.
Tout ceci relève de la mécanique et du quantique. Pourquoi ne pas l’utiliser ? On se sert bien de rayons radioactifs pour tuer des tumeurs. Pourquoi ne pas se servir de rayons ultraviolets pour détruire le virus. Ce procédé n’amènera aucun effet secondaire.
A nous d’agir.