La pression atmosphérique et la chaleur n’ont pas trouvé leur place dans le monde médical. Elles n’ont pas été intégrées à la médecine.
Et pourtant, si ce fut pendant 17 siècles considéré comme un vide, les pressions atmosphériques représentent des tonnes sur votre corps. Ce fut le travail de Pascal, de Newton, de Torricelli et de bien d’autres. La pression atmosphérique, découverte pourtant il y a deux cents ans, ne s’est pas intégrée dans la médecine.
La chaleur qui tue les virus n’a pas encore pris refuge dans la médecine. On en fait le constat mais on ne l’utilise pas. Et quand on en fait le constat sur le corps ou dans le corps, c’est qu’il y a déjà une pathologie en puissance.
Moi, je demande d’utiliser la chaleur pour tuer les virus et cette chaleur-là.
C’est l’air que nous respirons chaque jour. Cet air peut varier d’au moins 20° à plus de 50°, en été. Il faut donc créer en hiver une température ambiante d’au moins 30° pour neutraliser les virus.
C’est curieux qu’il faille autant de temps dans la médecine pour prendre conscience de l’action de la nature.
Il en a été de même dans le droit que j’ai dû subir pendant des années pour mettre fin aux monopoles d’Etat. Ce droit a mis trente ans pour s’appliquer. Ce droit, c’était le droit européen qui prime désormais sur tous les droits nationaux. Et j’ai même vu, un jour, devant un tribunal, un procureur me lancer à la figure : « regardez ces individus qui veulent appliquer des lois étrangères ».
Décidément, il y a quelque chose, dans notre système, qui ne fonctionne pas.
Mettre deux siècles pour se rendre compte que la pression atmosphérique est déterminante pas ses variations sur la cause du cancer, c’est un peu beaucoup. Et l’on n’a pas encore compris que la chaleur tue les virus et que le froid tue les bactéries. Et on n’a encore moins compris que le froid est l’incubateur des virus. En tout cas, on n’a rien fait pour y remédier.
La chaleur est le seul remède qui puisse mettre fin à la pandémie en cours. J’ai d’ailleurs entendu, l’autre soir, le Ministre de la Santé, nous dire que le froid apportait le développement du virus ; alors, dans ce cas, comment ne pas vouloir utiliser la chaleur comme antidote ?
A chaque fois, on me prend pour un fou.
Et il a fallu plus de 1 700 procès pour qu’enfin on applique le Traité de Rome, en France, signataire de ce traité. Et il a fallu attendre cinquante ans pour qu’il soit enseigné dans les facultés.
Aujourd’hui, ni le froid, ni la chaleur, ne sont enseignés dans les facultés de médecine comme étant des éléments déterminants sur notre santé. Dans un précédent article, j’ai d’ailleurs schématisé la courbe de la puissance du virus par rapport à la température.
Je démontrerai aussi que les variations des pressions atmosphériques sont la seule cause qui conduise aux cancers.
Voici bientôt cinquante ans que les chercheurs cherchent mais ne trouvent pas. Pourrait-on au moins se poser la question ? Ce n’est pas que les chercheurs soient plus mauvais qu’avant ou que maintenant mais ils sont tout simplement à la solde de laboratoires. Ces laboratoires pour qui seul l’argent est déterminant.
Et je dirais même plus grave que cela : on évite d’utiliser la chaleur ou la régulation des pressions atmosphériques pour ne pas détruire leur fonds de commerce.
Je finirais par croire que c’est seulement l’intérêt qui prime et qui fait mourir des centaines de milliers de gens, voire des millions. Et les Etats et les politiciens observent, quand ils ne sont pas prisonniers ou otages, béatement.
Nous sommes début janvier et, par profit, on va continuer à laisser mourir nos vieux et nos moins jeunes pendant au moins encore un an. Je n’ai rien contre les vaccins mais il y a deux raisons qui me font en douter. On s’aperçoit aujourd’hui que le vaccin n’est efficace qu’à 60%, selon les dernières informations. Pour vacciner toute la population française, il faudra au moins un an, sans résultat certain, si ce n’est peut-être celui d’un génocide. Et notre civilisation a reproché le génocide arménien et le génocide rwandais. On est tout aussi coupable en ne mettant pas fin à la pandémie et au cancer.