L’inflation est un désastre pour tous ceux qui ont économisé ; c’est une prime à tous ceux qui ont fait des dettes.
A l’inverse, la déflation est une prime à tous ceux qui ont économisé. La déflation doit être accompagnée d’une baisse des prix.
La déflation active que je propose n’est que le transfert du financement des charges actuelles sur le travail vers le budget de l’État.
Cette déflation active entraîne :
- une augmentation du pouvoir d’achat de 15 à 20%
- une augmentation de la consommation intérieure
- une explosion de nos exportations
- une réduction exceptionnelle du chômage permettant un retour au travail
- une réduction importante pour l’État sur les charges de 7 millions de salariés, fonctionnaires et assimilés
- l’explosion des ressources de la TVA et de la CSG par une augmentant de la production
- l’accroissement des ressources fiscales par l’augmentation des revenus de tous et par l’obligation de la participation des salariés aux bénéfices de l’entreprise
- la réduction pour l’État de la dette et de son coût
- pour l’État, la suppression du coût du chômage
- l’économie de tous les jours d’absence par l’amélioration de la santé
Il n’est pas exclu, pour être plus sincère, qu’il y ait, durant une période limitée à quelques mois, le temps que le réacteur social atteigne sa puissance, une augmentation de la TVA, comme l’on fait les Allemands.
Franchir ce pas, c’est assurer l’avenir de nos enfants, c’est accroître notre pouvoir d’achat à tous, sans laisser qui que ce soit sur le bord du chemin.
La déflation active, c’est tout cela, c’est une autre manière de financer les charges sociales. Ce sera un nouveau monde à l’abri des excès de la mondialisation.