Ils sont 500 000 Français qui vivent et travaillent dans des espaces réfrigérés à moins de 5°. Ils se trouvent donc au centre du lieu de vie de la COVID-19, et l’on s’étonne qu’il y ait encore des virus, endormis certes, mais vivant dans notre pays là où le soleil ne pénètre pas.
La COVID-19 a vécu parmi la population, le soleil a fait son œuvre. Mais, attention, des lieux où le soleil n’a pas pu pénétrer, peut encore surgir le COVID-19 et l’on reprochera évidemment à l’Etat de ne pas avoir fait ce qui était obligatoire en utilisant dans ces chambres réfrigérées, dans ces camions réfrigérés, la seule arme crédible que nous ayons, les ultraviolets.
Nous savons ce qu’il faut faire et on ne le fait pas ou on le fera dans six mois. C’est cela la machine de guerre de l’Etat, il faut toujours attendre.
La contamination de par l’homme est très faible par rapport au risque encouru par ces 500 000 Français qui travaillent dans ces zones réfrigérées. Pour aujourd’hui, c’est peut-être trop tard, pour demain, il faut prévoir. Demain, il y aura encore 10 000 morts de par la grippe, par le même chemin que la COVID-19. Préparons-nous à éradiquer ces maladies dont les conséquences sont désastreuses pour chacun d’entre nous par l’affaiblissement de notre système immunitaire.
On se demande bien à quoi sert un Conseil Scientifique. On a vraiment l’impression que sa seule idée, c’est de produire des vaccins ou des médicaments, produits inévitablement par les laboratoires qui les financent.
Les grands malades, ce ne sont pas les Français, c’est la mondialisation qui nous apporte nombre de ces maladies ou de nouveaux virus. C’est à ce moment-là et à cet endroit-là qu’il faut faire barrage : dans les avions et dans les bateaux.
La guerre, c’est d’éradiquer les soldats qui sont encore sur place, mais il ne faut pas laisser entrer de nouvelles divisions armées.
On agresse les Français mais que fait-on pour empêcher les maladies de subsister ou d’arriver ? C’est cela la source où il faut agir afin qu’elle ne devienne pas, en plus, le déclencheur d’autres maladies.
Oui, c’est par tous les moyens à notre disposition qu’il faut s’en prendre à la source et là où les virus peuvent se développer. C’est toujours en amont que l’on résout les problèmes. Tout le reste n’est que bricolage et atteinte à la personne humaine.