Français, y a-t-il donc, sur 67 millions d’individus, une sommité, un politique, un philosophe, un scientifique, un ingénieur, qui osera braver le monopole de la médecine et les virus ?
Y a-t-il si peu de courageux pour défendre notre liberté, pour défendre notre vie, pour défendre notre pays ?
Sommes-nous à ce point asservis, presque descendus aux enfers ? Il faut revenir à la raison. Je sais qu’il est difficile de trouver un de Gaulle tous les jours, avec une telle carrure. Mais, tout de même Monsieur Macron n’est-il pas l’homme qu’il faut ? Il aura appris à ses dépens. Je pense qu’il n’y en a pas d’autre dans notre pays aujourd’hui pour résoudre l’immense problème qui se pose.
La scoumoune a frappé notre Président. Il a tout eu, il a tout subi. Donnons-lui un peu d’oxygène. Et cet oxygène-là ne viendra pas de la part de la médecine. Il viendra du monde des ingénieurs, des architectes ou des techniciens qui ont le courage de trouver les causes et qui en connaissent les solutions.
Il faut que notre Président oublie le monde des scientifiques. Ces scientifiques doivent se remettent en cause.
Le moteur doit se remettre en route en changeant de partenaires. C’est un véritable divorce qu’il faut prononcer.
La contamination d’homme à homme qui nous est imposée par la médecine n’est pas la seule au monde. Les virus sont partout. Le froid, la neige, sont leur cour de récréation. La contamination est plus importante par les surfaces que par les contacts humains. Ceci nécessite l’arrêt total de nos importations des différents pays du monde pendant une période de deux à trois mois. Nous avons les réserves nécessaires.
Il faudra attendre, pour faire repartir nos importations, que l’été arrive pour pouvoir balayer tous les virus actuellement existants. Et cela ne sera possible que si l’on détruit aussi les virus là où il se cache, c’est-à-dire au froid et dans les chambres réfrigérés.
Y a-t-il un homme, dans nos pays, qui aura le courage de prendre le manche à balai tant pour nettoyer que pour décoller ?
Oublions le défensif, attaquons. Certes, nous n’avons pas un Général de Gaulle, mais nous avons un Président qui semble être de bonne foi et volontaire, un Président qui a compris qu’il ne résoudra rien avec les scientifiques de la médecine.
Je ne peux pas croire que notre Président n’ait pas réussi à faire la liaison entre le développement des virus et les vagues de froid. C’est si simple que les courbes en sont totalement divergentes, l’une part à la hausse et l’autre à la baisse. Plus il y aura de froid, plus il y aura de virus.
Je crois que notre Président a été abusé par les Conseils Scientifiques. Ce n’est pas là qu’il trouvera la solution, et il le sait bien. Il suffit maintenant de couper le cordon ombilical qui a toujours unit le pouvoir politique au pouvoir de la médecine.
Ce ne sera pas facile mais ce sera obligatoire.