Il faut éviter la maladie en éradiquant la cause et en régulant les possibilités de circulation de notre sang.
Protéger, c’est neutraliser, c’est éviter, c’est éradiquer. Vaste programme ! et pourtant si simple avec du bon sens et de l’évidence.
Qu’il en soit de notre cœur, de notre cerveau, de notre système respiratoire, de notre système digestif, de notre système urinaire, ils ont tous un même vecteur : la circulation de l’oxygène par le sang. Tout ce qui peut entraver ce vecteur entraîne un déséquilibre et des conséquences graves, voire vitales.
En fait, je pense que je n’apprends rien à personne ; c’est l’évidence.
Pour les cancers, les moyens, les solutions, je crois pouvoir dire que c’est d’éradiquer la cause par des solutions naturelles. Pour les virus, qu’ils soient Covid-19 ou grippes saisonnières, on sait aujourd’hui qu’on peut les éradiquer avant même les premiers symptômes et sans médicaments.
Que ce soient les virus, les cancers ou les grandes maladies, ils ont pour cause une origine naturelle. La génération spontanée n’existe pas, il y a toujours une cause ou un signal qui apparaît sur notre corps et dans notre vie. Il n’est pas nécessaire d’être médecin pour cela ; toutefois, le médecin soigne la maladie quand elle est là.
Quant à moi, je propose d’éviter la maladie et j’en donne la solution. Bien sûr, il peut y avoir des accidents, il peut y avoir des oublis et il faudra toujours avoir un médecin pour apporter la solution, quand il la connaîtra… ce n’est pas toujours évident.
C’est par la simplicité que l’on fera vivre l’homme plus longtemps, en pleine forme et quasi gratuitement.
Il en est de même en économie ; certes la grande maladie, c’est la dette mais, là encore, il y a des solutions avant d’avoir besoin du médecin. La maladie elle-même génère 300 milliards de dépenses annuelles : ne vaut-il pas mieux l’éradiquer auparavant ? Etre en plein forme, c’est aussi un atout de notre économie et c’est un tout un monde nouveau qu’il va falloir mettre en place et notre peuple est à présent capable de l’accepter.
En économie, il faut aussi se protéger mais c’est l’affaire de l’Etat, de l’impôt, et non du travail.
On sera peut-être conduit, en économie, comme au plan médical, à faire briller le soleil chez soi, parfois d’une manière artificielle. Mais le soleil en économie, c’est le pouvoir d’achat et, au plan médical, c’est d’éradiquer les causes.