Les infrastructures de ces collèges et écoles dont la France regorge ne servent que 4 jours par semaine et sont en vacances en moyenne 105 jours par an. 230 jours d’utilisation au total dans l’année qui peuvent être multipliés pour former les adultes.
Collèges et écoles doivent être mieux exploités
Le bon sens voudrait que l’on se serve de ces infrastructures, de ces outils, de ces laboratoires, de toutes ces machines pour la formation continue. On réduit pourtant les budget du CNAM qui utilise les établissements en soirée. Est-ce bien raisonnable !
Les institutions privées et écoles de formation sont trop coûteuses sans de vrais résultats, sans de vrais diplômes.
L’utilisation de ces infrastructures nécessitera de nouveaux professeurs pour la technologie, pour la physique, pour les maths, pour la législation, pour l’utilisation de ces machines et d’un nombre important de moniteurs qui permettront l’accès à de vraies compétences conduisant à de vrais diplômes : CAP, BP, BTS, et non à une attestation sans résultats.
Nous pensons que cette utilisation à plein temps sera rationnelle et aboutira à une vraie formation pour la population qui en a bien besoin.
“Le budget de la formation est actuellement de 32 milliards l’année. Je pense que la solution proposée permettra de réduire ce budget d’au moins 50%” précise Michel Leclerc.
Cette solution permettra aussi à ces collèges pour adultes, jeunes et moins jeunes, de disposer d’équipements plus modernes et d’avant-garde pour que les élèves qui en sortiront puissent rentrer dans le monde du travail immédiatement. On pourrait également utiliser une partie du budget pour l’achat et l’utilisation d’équipements ultra-modernes et d’avant-garde.
Là encore, ne serait-il pas plus sage de transférer ces budgets sur le Ministère de l’Education Nationale ? Il serait aussi possible d’obtenir des constructeurs de matériels d’avant-garde, d’avoir des techniciens de l’usine pour exposer leur matériel et en montrer l’utilisation dans les collèges de jeunes et d’adultes.
Est-ce un rêve ? Non : simplement du rationnel et du bon sens.
La suppression des charges sociales pourraient encore faciliter les budgets existants. Le budget de la formation serait alors bien utilisé. Là encore, le plan TRES sera un moteur du futur du monde du travail.
Nous pensons que le budget nécessaire ne dépassera pas les 10 milliards par an pour une vraie formation des adultes qui devront, pour une raison ou pour une autre, se reconvertir, ou pour des jeunes qui voudront se perfectionner.
Mettons fin à ce gâchis, sans résultat en plus, de la formation professionnelle actuelle.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.