Le Brexit est-il un atout pour la France ? L’Angleterre est entrée dans l’Union Européenne par une porte dérobée, une porte de service. Si elle en sort définitivement, elle devra sortir par la même porte. Pourquoi ? On ne peut pas avoir un pied dans l’Europe et un pied aux Etats-Unis !
Le Bréxit comme ligne de mire
L’Angleterre ne nous apporte rien ou presque. L’Angleterre n’est pas dans la zone euro et prétend trop souvent imposer son choix. Aujourd’hui l’Europe, c’est l’Etat confiance dans le monde et la mondialisation fait fonctionner la machine, parfois bien mal d’ailleurs.
Michel Leclerc : “Ô combien le Général de Gaulle avait raison : notre économie ne dépend pas de l’Angleterre, leur philosophie n’est pas la nôtre. L’économie de l’Angleterre est souvent factice ou financière et n’est en aucun cas indispensable à l’Europe.”
En revanche, les régions telles que l’Ecosse et l’Irlande sont des moteurs dynamiques qui souhaitent rentrer eux dans l’Europe. L’avenir nous le dira.
En quittant l’Europe, l’Angleterre perdra le panache de son économie et sa monnaie qui à ce jour a perdu 30%, entraînera un nouveau chômage.
Les Français qui sont en Angleterre rentreront en France. Ce sont des jeunes et souvent de grosses têtes. Espérons que nous saurons les accueillir.
Sur le plan militaire, le départ de l’Angleterre ne serait pas un problème.
L’impact pour la France
La France va reprendre sa 5e place dans le monde et elle conduira l’Europafrique à la première place tant sur le plan économique qu’en nombre d’habitants et ce, dans les 20 ans qui viennent.
En attendant la France doit :
- Éradiquer son chômage
- Arrêter le compteur de la dette
- Accroître le pouvoir d’achat des Français
- Faire un moratoire sur sa dette.
L’Angleterre est respectable mais elle aime jouer solo. L’Europe va faire éclater son attractivité pour les capitaux mondiaux.
Toutefois, l’Europe ne peut gagner si elle conserve ses cotisations sociales sur les salaires : l’Angleterre est à 30% de charges, le Canada à 20%, les Etats-Unis à 15% ; l’Europe, c’est entre 40 et 70%, ce qui interdit toute concurrence réelle. C’est le nœud de la réforme qui reste à faire. La compétitivité de l’Europe doit être, et sera demain, une force, par la suppression totale des cotisations sociales. Et c’est possible en maintenant notre système de protection sociale.
Toute l’Europe et l’Europafrique pourront accéder à la première place mondiale devant les Etats Unis, devant la Chine, devant la Russie qui ne tardera d’ailleurs pas à entrer dans l’Europe.
Ce n’est pas un rêve : c’est une réalité, en espérant que notre Président osera, comme le Général de Gaulle, prendre la seule décision qui vaille : la suppression des charges.
Le plan TRES doit en être le moteur.
Et le départ de l’Angleterre n’est qu’un épiphénomène sans conséquence.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.