Augmenter de 4% les retraites et les salaires quand l’inflation actuelle sera, à fin décembre, de 10% et à fin 2023 de 20 à 25%, me laisse pantois.
Et ce n’est pas en transformant l’Assemblée Nationale en un cirque Pinder que l’on résoudra les problèmes. Il est vrai qu’il n’y a plus beaucoup de cirques qui passent dans les villes…, il fallait bien les remplacer d’une manière ou d’une autre !
Mais revenons aux choses sérieuses : le gouvernement nous dit qu’il va réduire l’inflation à fin 2023. Non, c’est faux : on ne réduit jamais une inflation, on la subit. En revanche, si à fin 2023 on arrive à ne plus augmenter l’inflation, ce sera déjà bien.
Et comment va-t-on faire pour limiter l’inflation avec un taux d’intérêt qui dépassera les 6 ou 8% ? Certes, l’inflation aura permis de réduire la dette mais elle repartira de plus belle parce qu’on n’aura pas fait ce qu’il faut.
Réduire l’inflation serait de prendre la décision de réduire les prix par une déflation mais surtout par le transfert des charges qui ne doivent, en aucun cas, peser sur la valeur du travail.
Mais dès que l’on parle des évidences, que ce soit en économie ou au plan sanitaire, on passe pour un fou. Dans tous les cas, il y a beaucoup de profits à la clef, que ce soit par les spéculateurs ou que ce soit par le monde médical.
Madame Borne, il vous faudra être exceptionnelle dans des conditions exceptionnelles mais ce ne sera pas suffisant parce qu’on n’est pas au même niveau de pensée que les États-Unis : quand cela va mal chez eux, ils font tourner les rotatives pour fabriquer les dollars, quand cela va mal chez nous, on puise dans les réserves des retraités.
Monsieur Bruno le Maire, arrêtez de jouer aux cartes, utilisez les bonnes cartes.
Pour être fort, il faut déjà ne pas perdre ce que l’on a
Pour être fort physiquement, il ne faut déjà pas perdre l’énergie que l’on possède à la naissance. Car, en fait, chaque année, on perd 1% de notre système immunitaire et l’on pourrait peut-être se poser la question du pourquoi.
Depuis cent ans, on a affaibli notre énergie de plus de 50%. Ce n’est pas une mince affaire. Il faut donc prendre le taureau par les cornes :
Pour ce faire, il faut neutraliser tout ce qui peut détruire notre énergie. Nous le devons à nos enfants. C’est un devoir tout aussi important que de mettre fin au réchauffement climatique dont on parle beaucoup et sans chercher à s’attaquer aux vraies causes, la première d’entre elles étant l’extension des déserts.
Il fut une époque où les déserts étaient des zones verdoyantes. Le climat vient du ciel, me direz-vous. Oui, mais la nature, elle, est la meilleure et la plus mortelle qu’il soit. C’est à nous, humains, d’en assurer une certaine régulation.
On se dit être des prodiges. Oui, pour détruire, très peu pour protéger la vie. Hier, on aurait pu émettre des doutes ; aujourd’hui, il n’y a aucune excuse à ne pas agir pour redonner la puissance à l’homme et la modération à la nature.
Je sais ce que vous allez me dire : vous ne voulez pas affronter ce que Dieu a fait. Je m’en garderai bien, mais Dieu a mis l’homme sur cette terre pour en être le gardien, l’utilisateur et le multiplicateur. Àl’homme à faire le tri entre le bien et le mal. Sur Terre, c’est toujours la loi du plus fort qu’il faut combattre, la nature est aujourd’hui la plus forte.
Non, il ne faut pas combattre la nature directement mais toutes ses dérives. Je ne crois pas au hasard mais, à ce jour, l’homme a choisi d’être son propre destructeur. Il nous faut simplement réfléchir à ce qui peut être le meilleur.
La médecine a tout fait pour soigner mais elle s’est bien gardée de tout faire pour éviter d’avoir à soigner.
Ce que je propose permettra d’éviter d’être mangé de l’intérieur et de l’extérieur, sans armes, sans tambours ni trompettes, mais tout simplement grâce àl’évidence.