L’autoflagellation n’a jamais conduit à la sainteté, l’imposer aux Français est une profonde erreur.
Il faut accepter le combat, le corps à corps, pour éradiquer le virus.
Le soleil ne pourra pas tout faire d’autant plus que ce sont nous qui cultivons les virus, qui les alimentons, hiver comme été. Ce sont nous qui construisons leurs lieux de vie et, plus on en construira, plus il y aura de virus si l’on ne fait pas l’indispensable : mettre la lumière, fut-elle à ultraviolets, dans tous les lieux où l’armée de l’ombre se développe.
Le virus se développe massivement, des millions de fois, en une nuit, en une journée, à la température de 0 à 10 °. Le virus est roi et agit avec sa plus grande force entre 10 et 20°. Ce n’est qu’au-delà de 20° qu’il commence à décliner, pour mourir entre 30 et 40°.
Oui, c’est l’armée de l’ombre, celle que l’on doit combattre par la lumière et non par le confinement, et encore moins par l’autoflagellation.
Ce n’est pas quand le soleil apparaît qu’il faut assurer un confinement, c’est quand la vague de froid apparaît et sévit. On fait vraiment tout à l’envers alors que l’on sait parfaitement que la période d’incubation est de quinze jours.
Oui, on a eu peur de mettre en cause les grandes surfaces alimentaires, par crainte d’affamer les populations, mais l’on a fait pire, on les a tuées, on a tué nos populations.
Hommes de pouvoirs, agissez immédiatement :
- pour une désinfection générale
- par les lumières, fussent-elles ultraviolettes, là où les virus vivent et se développent au froid.
Acceptons le corps à corps, même si l’ennemi change d’armure tous les mois.
On se dit le pays des lumières mais on ne sait pas les utiliser.
Aux armes, citoyens ! En utilisant la lumière à ultraviolets, on ne tuera que les virus, l’occupant du monde entier. Et l’on gagnera parce la lumière, c’est la vie.