Ceux qui ont acheté une maison avec ce type de crédit, pourront la revendre dans 5 ans avec 15%, voire 20% de plus mais il aura fallu attendre 5 ans. Ceux qui auront acheté de l’or, il y a simplement un an ou deux, ont déjà fait une plus-value de 15 à 2 %, et ils peuvent le revendre à tout moment.
Au crédit de qui ?
Ce sont les valeurs refuges quand la France s’endette et parvient à la crise financière. Aujourd’hui, garder de l’argent en banque, cela pourrait être sécurisant mais, en fait, il perd 2 à 3 % l’an en valeur et peut-être beaucoup plus si la crise qui arrive très bientôt bouleverse les monnaies. Oui, il y aura beaucoup de perdants et peu de gagnants.
L’or et les murs restent indiscutablement les deux refuges avant la crise et après la crise. Mais, attention : si la crise est extrêmement forte, telle qu’elle fut après la guerre, le gouvernement se verra dans l’obligation de bloquer les loyers à leur valeur d’avant la crise.
En revanche, l’or continuera à flamber, ce qui fera aussi le bonheur de la Banque de France où s’entassent des dizaines de tonnes d’or. Il faut peut-être aussi conserver nos mines d’or en Guyane…
Il nous faut, plus que jamais, dès à présent, protéger le travail de telle manière qu’après la crise on puisse rapidement relever la France.
Espérons que Monsieur Macron évitera une trop grande descente aux enfers.
Tout ce que je viens de vous dire sera probablement l’enjeu du G20 où le secret sera bien gardé jusqu’au jour où plus personne ne s’y attendra. Ce sera la douche froide si rien n’est fait avant.
Convaincre, c’est la seule force qu’il nous reste et ce qui me gêne dans tout ce chambardement c’est que ce seront encore les spéculateurs qui gagneront au détriment du peuple qui, comme d’habitude, paiera l’addition. Faudra-t-il encore qu’il ait l’argent et le pouvoir d’achat nécessaire pour payer l’addition.