En signant un contrat de sécurité avec la France, l’Ukraine se met sous le parapluie de l’arme nucléaire.
Certes, elle vient chercher des armes et des munitions mais surtout le parapluie nucléaire. Elle ne sera plus sous la menace nucléaire de la Russie ou de Poutine.
Un contrat identique a déjà été signé avec l’Angleterre. La France et l’Angleterre sont libres d’utiliser leur arme nucléaire quand elles le veulent sans avoir à le demander à qui que ce soit, et tout spécialement la France.
Le contrat de sécurité va engager la France dans la guerre ; la France a pris du retard mais il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Il aura fallu les déclarations de Trump et les mensonges de Poutine pour que Monsieur Macron comprenne le danger de la Russie. Aujourd’hui, tout sera fait pour protéger l’Ukraine.
Tout ceci entraînera dans le même sillon l’Allemagne avec laquelle Monsieur Zelenski signera également un tel contrat.
Il faut faire vite. L’Ukraine a quelques difficultés aujourd’hui. Les tergiversations de l‘aide américaine ont permis à Poutine de se réjouir. Mais l’Ukraine aura l’aide qu’elle attend des États-Unis. Les Républicains à la Chambre, les représentants, voteront cette aide qui est à présent votée par le Sénat.
Monsieur Macron, au moment où il a nommé Monsieur Attal comme Premier Ministre, a décidé de reconduire la France dans sa puissance économique et militaire.
C’est le réveil d’une France endormie. C’est le moment de comprendre que beaucoup de bien-être, c’est bien, mais que la liberté est indispensable et nécessitera beaucoup de travail.
Bon courage à tous.
Le PIB pour la défense
Il est aujourd’hui de 2%. C’est insuffisant, il va falloir s’approcher des 5%. Et si la guerre se poursuit, ce sera 10%.
Il y a une urgence mais déjà tous les groupes industriels français, de Dassault à Safran, sont en ordre de marche.
La France a toujours été un fabricant et un fournisseur d’armes et de munitions. Elle doit le prouver aujourd’hui en Ukraine.
Tout le monde pense que ces armes et ses munitions seront payées par les Français. C’est faux, c’est la Banque Européenne qui paiera. C’est son rôle de partager en cas de danger et c’est aujourd’hui le cas. Aucun pays d’Europe ne pourra s’y soustraire.
Reste à savoir quel type d’arme ou de service seront le fer de lance de demain. Le fusil sera nécessaire mais aujourd’hui les drones permettent de voir sans être vu. En temps de guerre, trop souvent les munitions tirées n’atteignent pas leur cible. Aujourd’hui, cette difficulté est compensée par les drones.
Si les drones arrivent en première place, ce sont les canons Caesar que nous possédons avec leurs munitions qui doivent être prioritaires dans les conditions actuelles.
Il n’y aura pas que les armes. Il y aura aussi les soldats à qui, d’ailleurs, il faudra donner une plus forte puissance physique, nécessaire en temps de guerre. La fatigue n’est pas de circonstance en temps de guerre pas plus que le manque de facultés.