A tous les pays fabriquant armes et de munitions :
elles permettent d’accroître le PIB car elles entrent dans le coefficient des produits fabriqués et elles font fonctionner les industries les plus performantes.
Le financement, c’est autre chose, la guerre fait accroître la dette.
Mais pour les Etats-Unis, c’est le pays qui fabrique les dollars, ce qui permet aussi de l’enrichir.
C’est aussi le dollar qui sert de monnaie en tant de guerre car l’euro est soumis au dollar rendant les pays européens plus fragiles.
Mais y a-t-il un choix pour aider l’Ukraine ?
Ce n’est pas l’Ukraine qu’on aide, c’est notre liberté que l’on défend, et je suis étonné qu’il existe encore quelques pays européens qui soient réticents ; ils voudraient profiter de l’Europe tout en conservant des relations avec la Russie.
Le Président Zelenski a parfaitement compris que l’argent qui l’aide, il faut aller le chercher.
C’est ce qu’il fait dans tous ses déplacements.
Poutine est aussi obligé d’aller à la recherche des fournitures d’armement, que ce soit en Corée du Nord ou en Iran.
Et il les paye rubis sur l’ongle.
La France de Monsieur Macron aura utilisé la dette pour les quelques milliards qui sont remis en aide à l’Ukraine, en queue de peloton.
Mais peu importe la dette, une troisième guerre mondiale créerait une dette 10 fois plus forte ; il faut choisir et, pour moi, il n’y a même pas à hésiter.
C’est l’Ukraine et seulement l’Ukraine qu’il faut aider.
On avait oublié que la guerre existait et notre industrie guerrière s’était évanouie.
On pensait que la bombe nucléaire allait tout résoudre :
quelle erreur !
Nous en voyons les conséquences aujourd’hui.
Qu’as-tu fait de ta propre vie ?
- Tu t’es contenté de monter dans le train de l’existence, dans le train de la mondialisation, dans le train de la consommation.
- Tu l’as consommé sans en respecter les constantes.
- Tu es entré dans un cycle infernal sans te protéger.
Et, au lieu de défendre ta vie, tu l’as réduite à sa plus simple expression et à sa petite durée.
- Tu t’es contenté de vivre 80 ou 85 ans.
- Tu t’es laissé embobiner par de belles paroles d’une médecine qui te dit « je ne sais pas ».
- Tu t’es laissé envahir par la fatalité.
- Tu t’es contenté du tout-venant, de l’à peu près.
Ton insouciance a conduit à tout compliquer au lieu de te défendre d’une manière naturelle et régulatrice de ce qui t’entoure.
- Tu crois profiter de la vie mais tu l’as détruite chaque jour et dans le temps.
Ton bonheur est très court et il faut le faire vivre plus longtemps, non pas dans le couloir de la vieillesse mais en pleine forme.
C’est aujourd’hui possible et c’est ce que nous avons réalisé pour vous.
La théorie des constantes te montre le chemin qu’il faut prendre pour aboutir à un nouveau monde, un monde qui protège notre vie.