Il y a quelques jours de cela, le 11 novembre, nous faisions acte de reconnaissance pour les morts au champ d’honneur de la guerre.
Un jour, on fera acte de repentance pour ne pas avoir su défendre notre vie, celle de nos enfants, celle de nos parents, ce qui a abouti, rien qu’en France, à 250 000 morts chaque année.
On fait la guerre pour une religion ou pour quelques milliers de km2 de territoire, ou encore pour défendre notre liberté.
- Quelle liberté ?
- Celle de dépenser des milliards pour se réarmer ?,
- celle d’une vie limitée à 83 ans en moyenne ?,
- celle de la souffrance et des maladies en tout genre ?
La guerre, on ne peut que l’éviter face à des fous, c’est parfois d’ailleurs difficile.
Mais la durée de la vie, en pleine forme, jusqu’à 180 ans, est aujourd’hui possible, faut-il pour cela prendre les moyens du maintien des constantes vitales à leur niveau ; il faut éviter leurs dérives, y compris celles de la nature que nous violons et qui nous violent chaque jour.
On passe outre les conséquences de ces violations.
Aujourd’hui, réguler la plus importante de ces dérives, celles des variations des pressions atmosphériques, est de notre devoir et nous en avons la possibilité avec Hygée le régulateur.
Cette possibilité nécessitera une guerre contre l’incrédulité et peut-être contre la honte d’une médecine qui n’y a pas pensé et ce, depuis des millénaires.
Ces variations de pressions sont invisibles, très peu ressenties mais parfaitement mesurables.
Priver nos cellules d’oxygène est pire que de ne pas les nourrir.
Cela se produit pendant près de 200 jours chaque année.
La découverte et l’invention nécessitent travail, bon sens, constat
La reconnaissance et la repentance sont des actes un peu trop faciles…
La découverte, l’invention, le portefeuille
Il est très rare que les découvertes et les inventions éclosent dans un portefeuille.
Je pense même que trop d’argent pour la recherche tue la recherche.
Une découverte, c’est le fait de quelque chose à laquelle on n’a pas pensé.
Notre vie repose sur des constantes qu’il faut réguler.
Les constantes sont nombreuses et sont très souvent violées par des variations qu’il faut maîtriser.
Ne pas les réguler entraîne maladie et vieillesse.
Eviter vieillesse et maladie ne proviendra par d’un médicament mais du respect des constantes, qu’elles soient nutritives, respiratoires ou circulatoires.
Elles nous crèvent les yeux et ce n’est pas l’argent qui permettra de les maintenir à leur niveau, mais le bon sens et le constat.
L’argent est nécessaire pour le financement des régulateurs des constantes et ce ne sont pas les laboratoires qui mettront fin à ces dérives.
Je crains que l’argent dépensé ne soit davantage utilisé pour le fonctionnement d’un laboratoire que pour les recherches, qui ont été détournées de leur mission pour soigner et non pour éviter.
Ces laboratoires sont des usines à tuer avec l’argent du citoyen et de l’Etat.
Les recherches qui aboutissent à l’élaboration de médicaments sont souvent des grues de déplacement d’un mal pour un autre.
Nous allons gagner cette guerre contre les maladies et la vieillesse, tout simplement en faisant en sorte que l’oxygène parvienne à nos cellules sans rupture.
