L’étude des mathématiques, de la météorologie et de la médecine sont nécessaires pour faire un bon médecin. Il est impossible de dissocier l’une de l’autre.
Les premières permettent de déterminer la puissance des phénomènes et des événements. La deuxième permet d’en déterminer les causes. La troisième permet d’en connaître les cibles.
Partant de ces trois actions conjuguées, nous pouvons utiliser la technique pour résoudre les problèmes qu’impose la nature.
Le médecin pourra, dès lors, rendre à l’homme toutes ses performances, en évitant qu’elles ne soient détruites et ce, dès la naissance.
Le médecin deviendra alors l’architecte d’une vie en pleine forme et de très longue durée. Il n’aura plus besoin de dire « je ne sais pas ». Il n’aura plus besoin d’utiliser des placebos. Notre corps aura alors conservé toute sa défense immunitaire pour s’opposer à toute atteinte.
La rivière deviendra un filet limpide débarrassé, épuré, de tout ce qui pouvait barrer son chemin.
A quand le pétrole et l’électricité à vil prix
La guerre russo-ukrainienne va se terminer. La Russie sera sous tutelle de l’Occident comme l’Allemagne en 1945. Les ogives nucléaires russes seront détruites.
Le pétrole, le gaz, l’électricité à partir de mini-centrales nucléaires au thorium, reviendront à un prix de production qui permettra à notre économie de revivre.
J’ose espérer que les Etats ne profiteront pas de cette nouvelle situation pour s’emparer du résultat avec des taxes insolentes.
On reviendra aux Trente Glorieuses. Mais à quoi serviraient tous ces gains si c’est pour une vie trop courte ? Une économie florissante sans qu’elle ne bénéficie à l’homme, à sa durée de vie, à sa santé, ne servirait à rien.
L’équilibre économique entre les différentes nations doit servir à conquérir un futur de bonheur pour l’homme.
Oui, la Russie rentrera, tôt ou tard, dans l’Union Européenne et, pour ce faire, il faut déjà lui rendre sa liberté.
Il restera encore à accepter les vraies causes du réchauffement climatique et de tous les effets pervers de la nature.
Il restera encore à s’occuper d’une Afrique qui s’éveille et qui va s’éveiller dans un nouveau monde où la vie aura beaucoup changé.
A nous de faire en sorte que l’on n’oublie pas une partie du monde, ce qui nous conduirait, une fois encore, à la guerre.