Il est un peu facile de parler de morale aux autres quand on n’a pas fait ce qui était nécessaire pour éviter cette guerre en Ukraine.
A-t-on parlé de morale quand les bombes atomiques sont tombées sur le Japon en 1945 ?
Non, la guerre n’a pas de morale :
- c’est la loi du Talion, c’est la loi du plus fort qui s’applique, surtout quand on est l’agressé.
La morale est l’antithèse de la guerre :
- il fallait l’éviter, Messieurs les moralisateurs. Aujourd’hui, on soigne un peu tard pour ceux qui sont déjà morts.
La vraie cause est que pas un seul des chefs d’Etat actuel n’a connu la deuxième guerre mondiale.
Quand le feu se déclare, un verre d’eau suffit pour l’éteindre ; quand la guerre éclate, c’est déjà trop tard.
On a trop attendu.
Quand on n’a pas versé le verre d’eau, c’est la forêt qui flambe.
- Et maintenant, il faudra dix fois plus de munitions pour stopper cette guerre.
- Et ce que propose l’Occident, aujourd’hui encore, n’est qu’un tout petit verre à digestif…
- Et ce n’est pas la faute de Zelenski qui a sonné le tocsin il y a bien longtemps, il y a deux ans.
L’immobilité de l’OTAN et des nations occidentales devra à présent en payer le prix.
Toutefois, il n’est jamais trop tard pour agir et pour protéger vos intérêts, Messieurs les chefs d’Etat.
L’aumône n’est pas de mise en temps de guerre.
Vous avez encore quelques jours pour fournir tout ce qui est nécessaire à l’Ukraine, sans discours ni palabres.
Il n’y a qu’à
Que ce soit en économie, au plan social, en médecine, le « il n’y a qu’à » n’est pas de mise.
Il faut trouver les causes en premier ou deuxième rangs et construire l’outil qui évitera les conséquences de ces causes.
Dire « il n’y a qu’à » est trop souvent une preuve d’incapacité ou de volonté à ne pas résoudre un problème, si difficile soit-il.
La politique est une maladie dont les partis profitent abusivement.
La médecine, telle qu’elle est utilisée à ce jour, est une maladie dont les conséquences ou la finalité est rarement de soigner mais d’en profiter au maximum.
Les écoles de médecine enseignent les conséquences de ce qu’on n’a pas voulu éviter.
Dans le moteur de votre voiture, si vous oubliez de mettre du carburant, de l’huile ou du liquide de refroidissement, vous n’irez pas très loin, et ne serait-ce que par l’oubli d’un seul de ces éléments.
Dans le moteur humain, si vous oubliez de faire parvenir l’oxygène aux cellules, ces dernières ne pourront plus vivre.
Il n’y aura plus de liquide synovial dans vos articulations.
Pire encore, la décomposition de ces cellules mortes va conduire à une substance délétère et nocive qu’aujourd’hui toute la médecine reconnait comme étant la cause des cancers.
Vous allez vieillir précocement et vous allez vivre un calvaire.
En découvrant et en construisant Hygée, le régulateur, j’aurai mis fin au « il n’y a qu’à » ainsi qu’au « je ne sais pas ».