Il y a déjà son ADN qui laisse une marque éternelle. Oui, l’homme pourrait être
éternel s’il respectait les règles que lui impose la vie.
L’homme se laisse détruire, jour après jour, par des phénomènes naturels et
par des intrus qui détruisent son système immunitaire.
Il nous faut accepter de réguler ou de détruire tout ce qui nous est néfaste.
Le régulateur Hygée peut à lui tout seul éviter, en régulant tout ce qui est
néfaste. Hygée, le régulateur, n’est pas un outil de la médecine mais l’objet du
bon sens.
Il est curieux que l’on ait pensé au chaud et au froid, et pourquoi n’a-t-on
pensé aux variations des pressions atmosphériques ? C’est un oubli
malheureux.
On va se trouver de multiples raisons pour des maladies, pour le vieillissement,
et même pour la mort. C’est tout à fait humain. Mais rien non plus n’interdit à
l’homme de choisir une vie en pleine forme et beaucoup plus longue ; c’est un
choix que la médecine a refusé ou auquel elle n’est pas arrivée.
C’est ensemble et avec Hygée que nous parviendrons à une autre vie
totalement en pleine forme et plus que centenaire.
On s’est occupé
L’industrie, en général, s’est occupée de maintenir une pression quasi
constante pour monter dans les airs en avion ou pour descendre dans les mers
en sous-marin.
A ce jour, l’industrie ne s’est pas inquiétée des pressions atmosphériques sur le
corps humain, sur la terre et au-dessus des mers.
La charge qui pèse sur nos épaules est de 40 tonnes qui ne sont rien d’autre
que le poids de l’air. Ce n’est pas le poids de l’air qui nous pose problème, ce
sont les variations de ces pressions. De même que la température de notre
corps est à 37 degrés de moyenne et n’accepte aucune dérive sans qu’il y ait sa
conséquence, notre corps ne supporte pas davantage des pressions, mais l’on
ne s’en est jamais inquiété.
Michel Leclerc – n° 10 – 13 avril 2023 – Parution le 16 avril 2023
Et pourtant, ces variations provoquent un changement d’environnement qui
bouleverse notre système circulatoire et entraîne la mort de milliards de
cellules, chaque fois qu’elles dépassent 1013 millibars.
Comme pour la température de notre corps qui, au-delà de 40°, peut devenir
mortelle, les pressions atmosphériques, quand elles dépassent 1030 millibars,
peuvent devenir mortelles.
Le Professeur danois Nicklas Brendborg précise que ces cellules mortes
deviennent des « zombies », des intrus, qui vont provoquer une substance
nocive qui conduit au cancer.
Il nous importe donc de réguler les variations des pressions atmosphériques :
c’est l’objet d’Hygée, le régulateur.