La guerre d’Ukraine sera gagnée par les Ukrainiens avec l’aide matérielle du
monde ; il en sera ainsi fini de Wagner en Afrique et c’est une raison de plus
d’apporter matériel et hommes à l’Ukraine, pour une victoire rapide.
On a promis des chars, on a promis des missiles, mais chars et missiles seront
tout de suite détruits si l’on ne met pas en même temps des avions de chasse.
Les uns ne peuvent aller sans les autres. C’est une chaîne absolument
nécessaire. Et il faudra, tôt ou tard, envoyer des bateaux en mer en Noire et en
mer d’Azov. Il faut faire vite.
Mais comment peut-on imaginer envoyer tout le matériel terrestre actuel sans
une protection aérienne ! On ne pourra pas éviter d’envoyer aussi des
commandos, des pilotes de chars et des pilotes d’avions de chasse. La guerre,
on ne l’a fait pas à moitié ou l’on est massacré. On a vraiment l’impression de
bricoler, de boucher des trous.
Mais au fond, où est le vrai problème ? Nous possédons tous ce matériel de
guerre. On ne s’est pas posé la question. Le fond du problème est la cupidité
des peuples : tout est une affaire d’argent
Je ne sais pas si vous avez constaté que dès que l’Europe a prévu 3 milliards
pour réarmer l’Ukraine, l’Allemagne a aussitôt envoyé des chars… Les tabous
ont disparu, comme par hasard. Je peux le comprendre mais qu’on ne vienne
pas me dire que c’est une question de morale ou de riposte.
D’ailleurs, si on avait envoyé les chars, et même des munitions nécessaires dès
fin février 2022, il y a longtemps que la guerre serait finie. Au lieu de cela, on
s’est enlisé dans des principes fallacieux où la cupidité a joué son rôle.
La guerre en Ukraine est un massacre. Nous voilà en troisième guerre mondiale
par procuration. Mais la procuration n’a jamais été une solution.
L’Ukraine a besoin d’un million de bras et de spécialistes capables de
manipuler les armes qu’on leur envoie.
Nous possédons tous des armées plus ou moins nombreuses et ce sont des
armées de métier : alors qu’attend-on ? Chacun doit avoir son rôle, y compris
la France.
Les retraites
A Messieurs les membres du gouvernement, à Messieurs les Présidents des
Syndicats, je voudrais dire que tous les jeunes qui ont aujourd’hui 20 ans,
vivront jusqu’à 150 ans et plus en pleine forme.
Alors, l’âge de la retraite d’aujourd’hui n’a guère d’intérêt pour demain. On ne
travaillera plus 35 heures par semaine mais probablement 25 heures et nous
aurons 50 ans de retraite en pleine forme.
Continuer à se servir du travail pour le social de demain est une aberration.
Nous ne cotiserons plus du social mais de l’impôt jusqu’à 100 ans et plus pour
une retraite à taux plein.
Une plaisanterie me direz-vous ? Non, ce sera la réalité à la suite de ma
découverte sur les causes des grandes maladies, des cancers et autres et sur les
moyens de les éviter.
Ce qui est plus surprenant, c’est que ce que je propose se fera en dormant,
dans sa chambre à coucher.
Il ne faudra surtout pas que ce soit seulement les adultes qui s’en servent, mais
il faudra que ce soit dès la naissance et ce, pour un coût ridicule.
C’est l’histoire d’un nouveau monde ; alors, excusez-moi, les batailles inutiles
d’aujourd’hui sur les retraites n’ont guère de sens.
Oui, il sera difficile de croire mais l’incrédulité sera brisée, de toute manière.
Ce dispositif que je propose permettra de doubler le temps libre de chacun, y
compris pour la retraite et nous produirons davantage qu’aujourd’hui et plus
longtemps car mon dispositif protège nos moyens physiques et intellectuels.