A-t-on le droit d’agir ainsi en sachant qu’il est possible de l‘éviter en fournissant
aux plus faibles, armes, avions, bateaux, munitions, missiles, sans condition ?
Décidément, l’Occident d’aujourd’hui n’a pas connu la guerre. Nous sommes
des inconscients. Personne n’utilisera l’arme nucléaire car cette arme n’a de
valeur que si l’adversaire n’en est pas doté.
Nous laissons faire par procuration et l’on ne pourra pas dire que l’on ne savait
pas. Nous sommes des lâches sans courage, sans morale, par cupidité.
C’est un massacre, un génocide entre deux Eglises chrétiennes. Alors, tous les
prétextes évoqués n’ont aucun sens.
Du 20 janvier 2023 à ce jour
Nous avons subi non seulement une guerre mais un désastre cellulaire, avec
des pressions atmosphériques de 1030 à 1040 millibars, tous les jours. Nous
avons perdu plusieurs milliards de cellules de notre corps.
Ces cellules mortes ou blessées ne vont pas tarder à circuler dans notre sang
dès que les pressions vont baisser.
Elles vont devenir, à court et moyen terme, ce que l’on appelle des « zombies »
qui vont émettre des substances nocives qui seront la cause des nodules
cancéreux, mais aussi des problèmes vasculaires et cérébraux.
Notre système immunitaire va perdre des millions de petits soldats appelés
leucocytes ou macrophages. Nous allons avoir de multiples AVC et des caillots
dans le cerveau. 10 jours qui nous auront fait perdre des mois de vie et qui
auront fait perdre notre productivité physique et intellectuelle.
Il n’y a pas au monde un médecin ou un chercheur qui puisse dire le contraire
sans mentir.
Des périodes de ce genre sont nombreuses tout au long d’une année. Il s’agit
de phénomènes à répétition qui entraînent une pluie de cancers, d’Alzheimer
et de Parkinson sans oublier la sclérose en plaques et notre vieillesse qui se
rapproche peu à peu.
Notre armée corporelle se réduit sans pouvoir réparer les dégâts causés.
Michel Leclerc – n° 02 – 27 Janvier 2023 – Parution le 1 er février 2023
Ce que je propose n’a rien d’exceptionnel ; il fallait seulement y penser et
trouver la solution, ce qui a été fait.
Aujourd’hui, ce n’est plus l’exception, c’est l’évidence.