Comme je vous l’avais annoncé, il y a de cela quelques jours, l’Ukraine a lancé son offensive sur tous les fronts, tant en bordure de la mer d’Azov que sur Marioupol ; elle en est à quelques km et va la reconquérir pour rejoindre les soldats qui sont encore dans les sous-sols de l’usine.
Il n’y aura pas d’armistice, il y aura la victoire, les Ukrainiens l’ont bien mérité. Les soldats ukrainiens sont les soldats de sang de leur pays. Les soldats russes ne sont que des soldats de métier qui ne défendent pas leur patrie et qui se demandent bien ce qu’ils font en Ukraine.
Cette guerre ne devrait plus durer très longtemps car les Ukrainiens ont, à présent, le même armement que les Russes et ils commencent à lancer des missiles sur le territoire russe et ses points stratégiques.
C’est par les Ukrainiens, et seulement grâce à eux, que l’Europe pourra continuer de vivre en toute liberté. Elle aura aussi appris par l’exemple des Ukrainiens qu’il faut toujours, tel un scout, « être prêt ».
L’Europe aura bien montré sa volonté collective, cependant, elle a oublié bêtement de se battre individuellement face aux virus et à la maladie. L’Europe, toute entière, a pris l’habitude de vivre dans le malheur, elle ne veut plus se battre contre le cancer et contre le COVID qui ont pris une place prépondérante dans la vie de chacun. Nous ne pouvons pas nous en contenter. Il nous faut nous battre pour mener une guerre contre ces maux dont la cause est connue mais pas combattue. Que d’argent gaspillé !
Chaque peuple a droit à son autodétermination. Mais, attention ! Il faut que chaque pays libre sache qu’il ne le restera que s’il se défend et prend les moyens de conserver sa liberté. Ceci n’a pas été fait en Afrique, et nous paierons très cher l’addition si l’on n’offre pas à ce pays le moyen de combattre le désert.
Le peuple russe a été habitué à croire en un régime totalitaire que quelques politiciens russes ont dévoyé pour s’enrichir honteusement. La Russie est un prétendu pays démocratique mais il n’a pas compris la démocratie.
Faisons, nous Français, attention à ce que notre régime démocratique, dans la liberté, ne s’amenuise pas au profit de quelques-uns, dans la spéculation et la création de monopoles. Faisons attention à ce que notre système social ne tue pas la société. Notre système social actuel est excellent, parfois trop, mais sachez que la secte médicale ne travaille plus pour éviter les maladies, ni pour en détruire les causes, mais seulement pour de l’argent.
Aujourd’hui, si l’on meurt
Aujourd’hui, si l’on meurt du cancer et du COVID, c’est de notre faute et de celle de nos dirigeants qui ne croient pas encore que la nature doit être régulée et que les virus doivent être éradiqués par le feu ou par les ultraviolets.
Tout ceci, nous savons le réaliser. Nous en connaissons les causes et les solutions. Ne pas agir, c’est s’en prendre à soi-même.
Dépenser, chaque année, des milliards pour soigner, ne semble plus être un problème. On dépense des centaines de milliards pour rien. Tout du moins pour un résultat médiocre. Comment, dans ces conditions, accepter qu’il y ait toujours 620 morts par jour pour le cancer, et 100 morts par le COVID ?
Il y a le COVID actuel, mais qu’arrivera-t-il demain, Il y aura la grippe ou une autre maladie ? Et qu’aura-t-on fait de la vieillesse ? Ce que je propose est peut-être trop beau : vivre en pleine forme toute sa vie et pour une vie plus longue.
Je pense aussi aux maladies tel que le palu et à tous ceux qui font tout pour le réduire par des moyens naturels tel que l’artémisia. Mais, là encore, on soigne mais on ne détruit pas la cause : les moustiques ont bon dos parce qu’ils transmettent une maladie dont on n’a pas encore trouvé la cause. Il faudra bien aussi s’en occuper, tôt ou tard. Ce sera probablement quelque chose à laquelle on n’aura pas pensé. C’est pour cela qu’il s’agira bien d’une découverte.
Se battre pour la santé, c’est se battre pour l’homme, pour sa vitalité, pour le faire vivre beaucoup plus longtemps, en pleine forme. Oui, si l’on meurt aujourd’hui, c’est bien parce qu’on n’a pas voulu ou parce que l’on ne veut pas casser la spéculation et le monopole médical. Mais je m’y engage, et on arrivera aux résultats.