La bombe de Poutine, qui est proche d’une bombe nucléaire sans rayonnement, nécessite une parade d’urgence.
Cette parade, c’est un masque avec une mini réserve d’oxygène fixée à ce masque. Cette mini réserve d’oxygène de 3cm cube permettra de survivre 15 à 30 mn, le temps nécessaire pour neutraliser dans l’atmosphère le défaut d’oxygène, et ce, de façon naturelle.
Chaque Français se devra d’avoir ce masque à sa portée. Il faut donc le fabriquer tout de suite et peut-être, pour une fois, chez nous, avec nos industriels. Il ne faudra pas nous faire le coup que les bombes arrivent et que l’on n’ait pas pu se doter de ces masques.
Les réserves d’oxygène, nous en avons à revendre compte tenu de l’utilisation de l’hydrogène comme carburant dans nos véhicules.
Le masque complet ne doit pas dépasser 300 gr. Contrer l’éventualité de la bombe de Poutine est un devoir pour nos dirigeants car elle neutraliserait aussi un odieux chantage de sa part.
Quant à la bombe nucléaire, c’est, en fait, une arme factice dont personne ne se servira.
En revanche, la bombe à absorption d’oxygène, qui n’est pas interdite, nécessite, dès à présent, de prendre toutes nos dispositions. Vous me direz que cette bombe ne peut être que ponctuelle. C’est vrai, mais le ponctuel peut former un puzzle qui pourrait s’en prendre à toute une grande ville.
Alors, n’attendons pas, une fois encore que le COVID de Monsieur Poutine soit là pour s’en protéger.
Convaincre, convaincre
Quand j’étais jeune ingénieur, j’ai appris, dès mon premier poste, que pour modifier quoi que ce soit dans une entreprise, il allait falloir passer 90% de son temps à convaincre les dirigeants et les actionnaires qui n’étaient pas toujours de la même génération.
Convaincre nécessite, aujourd’hui, d’apporter la possibilité de faire de l’argent, par le travail bien sûr, mais surtout en donnant la possibilité d’améliorer les techniques de production tout en préservant l’ouvrier ou le salarié en général.
Aujourd’hui, il faut que toutes ces innovations, créations ou transformations rapportent rapidement de l’argent si l’on ne veut pas installer un doute. Il faut le résultat à la clef.
Aussi, pour développer mes découvertes, il va falloir qu’il y ait un résultat rapide, ce qui n’est pas toujours facile quand il s’agit de la vie. Je ne compte pas sur le monde médical pour m’aider à développer le mécanisme qui mettra fin aux cancers car la clef de tout cela, c’est un fonds de commerce qui va être détruit. Et pourtant, tous les professeurs que j’ai rencontrés m’ont fait la même réflexion : « on n’y avait pas pensé. ».
Je ne vais donc compter que sur un phénomène. Tout Français qui a déjà un cancer avéré ne souhaitera qu’une chose : guérir ou, tout du moins, stopper le développement du cancer, ce qu’aucune potion médicale n’est parvenu à faire ; dans le meilleur des cas, le médical a réussi à faire durer le cancer mais pas à l’empêcher de se développer.
Mieux encore, mon mécanisme de régulation des pressions atmosphériques, utilisé dès la naissance, comme on se sert d’un radiateur, permettra d’éviter la construction d’un cancer.
Réguler la température d’un local, d’une chambre, nous paraît évident, à ce jour. Réguler la pression atmosphérique paraît être encore un rêve et pourtant, il est si simple d’y parvenir.
Le monde médical, qui m’a dit ne pas y avoir pensé, aura-t-il le courage de l’inclure dans ses tablettes pour permettre de sauver et de faire vivre en pleine forme toute l’humanité mais surtout d’empêcher les 250 000 morts par le cancer, chaque année en France ?
Il est vrai qu’il paraît étonnant que les milliers de chercheurs qui travaillent sur ce sujet n’y aient pas pensé ; c’est pour cela, d’ailleurs, qu’il s’agit d’une découverte.
Ni le tabac, ni l’alcool, ni la drogue, ne sont la cause des cancers, ils n’en sont que les facilitateurs. Il va bien falloir comprendre que le cancer n’est pas une maladie mais une construction mécanique de cellules mortes qui s’installent dans des nodules qui vont, un jour ou l’autre, s’infecter.
Est-ce que nos dirigeants politiques ont seulement pris conscience de ce qu’il sera nécessaire de faire, non pas par ma découverte, mais par les conséquences que cela va entraîner sur la vie, sur les retraites, sur le travail ?
Bien vivre, et longtemps, peut poser un problème social et de société. Cela posera aussi le problème des retraites qui dureront 40 ans au lieu de 20 aujourd’hui. Mais l’on travaillera jusqu’à 80 ans, en pleine forme.
Si ce que j’ai découvert permet de mieux vivre, il restera le problème du réchauffement climatique qui n’a pour seule cause que le développement des déserts. Il faut donc convaincre l’humanité entière de remettre les déserts en cultures.
Il faut toujours convaincre : que de temps perdu.
