Les Américains ne regardent que leur intérêt et l’occasion du blocus pétrolier sur la Russie représente une fortune pour l’Amérique qui vendra son gaz de schiste et son pétrole à prix d’or.
L’Amérique ne cherche qu’à appauvrir l’Europe, la Russie cherche à s’en accaparer. La Chine cherche à prendre le marché européen ainsi que le marché russe ; elle joue sur les deux tableaux.
Ce n’est pas demain qu’il faut réagir, c’est aujourd’hui, en faisant reculer l’ours polaire. L’Amérique compte les points et se remplit les poches, quitte à passer pour un spéculateur. Les prix du gaz et du pétrole suivent la loi de l’offre et de la demande ; à partir du moment où l‘offre devient faible, les prix montent.
La Chine est déjà prête à une guerre cybernétique et elle a placé ses éléments de défense cybernétique au sommet de l’Himalaya afin d’arroser la totalité du monde par des ondes magnétiques via leurs satellites. Plus personne ne bombardera, de quelque pays que ce soit, car les avions seront cloués au sol ainsi que les lanceurs à partir de sous-marins. Les ogives qui seraient lancées ne respecteraient plus leur cible et pourraient se retourner contre eux.
J’ose espérer que le bon sens finira par triompher et que chacun restera chez soi.
A armes égales ou presque
L’espace aérien ukrainien peut être neutralisé et il peut l’être pendant plusieurs jours, si nécessaire ; ceci mettra fin aux bombardements qui écrasent actuellement l’Ukraine.
On se retrouvera alors face à face, à armes égales et, dans ce contexte-là, les Ukrainiens seront gagnants par la loi du nombre, prêts à défendre leur pays. Monsieur Poutine n’a pas 15 millions de soldats ; aujourd’hui l’Ukraine a 15 millions de résistants.
Cette stratégie, qui ne fera pas de morts par la supériorité aérienne, permettra à l’Ukraine de repousser les Russes à l’extérieur de ses frontières.
Le courage de l’Ukraine ne fait aucun doute et nous pourrons alors, après la défaite russe, incorporer l’Ukraine dans l’Europe et dans l’OTAN : ce sera la plus grosse sanction et la défaite assurée pour Poutine.